Je vais vous révéler mon secret, parce que j’aimerais pas l’emmener dans la tombe : mon écriture relève d’une technique que j’ai inconsciemment développée parce que je calais sur les autres.
Je surcompense un handicap, ce qui ne cesse de m’étonner vu que je n’ai pas de difficulté particulière à défendre mon bifteck dans la réalité réelle (non dickienne).
Sauter du coq à l’âne permet de charmer son auditoire sans qu’il prenne conscience qu’on le berne, et qu’on n’a aucune idée de l’endroit où on veut en venir réellement, mais qu’on compte sur l’entraînement pour que le bateau rentre au port, où il sera plus en sécurité bien qu’ils ne soient pas fait pour ça.Evidemment, ça ne marche que sur Internet.
Et la Warsenothérapie ne marche que sur les Warsen.
Avis aux a-mateurs.
Commentaires
Eh ben j’ai essayé moi et j’y arrive pô…
Quand j’ai voulu sauter du coq à l’âne, en fait ils ont trés bien compris l’endroit où je voulais en venir. L’auditoire n’a pas du tout été charmé. Je crois qu’ils ont du prendre conscience qu’on les bernait…
Il faut sans doute que je m’entraîne encore.
Avec un mouton et une génisse peut-être…
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