il y en a d’autres ici et on peut acquérir son recueil là.
Grace aux évolutions de Word Press, je peux aussi offrir à mes cyber-poteaux une petite compile virtuelle de pré-Noël. Que vous le croyiez ou non, je suis né un 25 décembre, et les mauvaises langues diront que c’est parce que j’avais les bras en croix que ma mère a eu droit à une césarienne et qu’elle m’a prénommé Christophe dans le moment d’égarement subséquent alors que j’étais destiné à m’appeler Stéphane.
Donc, une pour Flo à fredonner à l’occasion de la fermeture de son club pour ceux qui se prennent pour des happy few à l’idée d’être enfermés dedans -Holden, La colère des imbéciles.
Une pour Dado, à la fois corpusculaire et ondulatoire -Frame by frame, King Crimson.
Une pour Fabie, heureux accident d’un fond en dissonance cognitive avec la forme (ou d’un signifié veuf du signifiant, comme aurait dit Lacan) -Eloge de la tristesse, une reprise de Thiéfaine par Sanseverino.
Respire, Fabie, respire, même si tu culpabilises de souffrir de cette incoercible addiction à l’air.
Une pour Roul, en souvenir de Capdevielle : -Johnny-pas-grand-chose, par Odeurs.
Une pour moi -The Hell of it, par Paul Williams, dans la B.O. de Phantom of the Paradise.
et une pour la légèreté de l’être, qu’elle soit soutenable ou pas. -Emily Loizeau, je ne sais pas choisir.
Commentaires
Muchas gracias pote JohnKris !
Soucieuse de ne plus importuner les membres de la fraternité AA plus que de raison, j’ai fait appel à un médecin de l’âme pour me sortir de mon apnée. On va essayer de respirer par la méthode du “rêve éveillé”. Yeaaaaaaah ! nouvelle addiction en vue ? -;)
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