mardi 19 janvier 2016

Sale temps dans la filière volaille



La semaine dernière tout allait bien.




Ce matin, beaucoup moins.
Je pense à une fouine, parce que la piste de plumes démarre depuis l'intérieur du poulailler, 
et qu'elle n'a pas crié (alors qu'elle braillait pire qu'une mouette).
Et un chien errant aurait joué avec, mais n'aurait pas mangé la tête.
Alouette.

Méditons sur l'impertinence l'impermanence.

8 commentaires:

  1. Je pense plutôt qu'à force de faire du cinéma elle avait attrapé la grosse tête.

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  2. Je constate avec plaisir que « La parole sur la gentillesse se libère ».

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    1. Désolé. Pour me faire pardonner je t'envoie une conférence d'un lama dont le sujet est : La joie dans l'impermanence.

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  3. Je l'adorais, cette poule. Elle engueulait tout le monde, elle faisait un boucan pas possible, et elle ne remerciait personne quand on la nourrissait.
    Une vrai punk.
    Elle gît maintenant (sans sa tête) dans un sac placé dans le container à déchets, en attendant le car de ramassage scolaire de chez Veolia.
    Elle me manque beaucoup.

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    1. Je m'étonne quand même que tu aies abandonné si vite la piste daechienne.

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    2. La grille du parc reste ouverte dans la journée.
      Les poules précédentes avaient résisté à une attaque dae chien errant au prix d'un bon paquet de plumes.
      J'ouvre et ferme le poulailler matin et soir depuis mardi.
      La morte a appris le prix de la liberté. La survivante fait comme si de rien n'était.

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    3. Finalement, les poules sont comme les gens

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  4. J'ai eu tort de lui faire lire Badiou versus Heidegger. C'était trop pour sa petite tête de piaf.

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