Edit : les langues se délient
(inédit fourni ce matin par un collègue de bourreau)
et la meilleure pour la fin :
Franchement ignoble.
Ceci dit, à l'époque, y'en avaient qui avaient déjà démonté la mécanique à l'oeuvre :
Merci à
pour sa précieuse documentation.
Après, on peut se poser la question :
quel genre de gens trouvait sa nourriture spirituelle en lisant ce torchon ?
Et les « journalistes » qui le rédigeaient ?
Même le scorpion prend soin de ses petits.
Comme le dit Thrinlé Gyatso, nous sommes conditionnés pour aimer, et quand l’objet d’amour disparait, on entre en dépression.
Enfin, lui, ça m’étonnerait qu’il finisse dans le journal.
D’ailleurs, comment font les moines ?
Tu rigoles? Les moines zen font des câlins à tout le monde. Je n'ai jamais fait autant de câlins à des personnes différentes que cet été, dans un centre zen... de chastes câlins, évidemment. Même les Lamas... et Thrinlé Gyatso n'est pas avare en câlins.
RépondreSupprimerJ'ai pas vu ça chez les tibétains. Je ne sais pas si ça me plairait.
RépondreSupprimerEnfin, il y a câlin et câlin.
quel genre de gens trouvait sa nourriture spirituelle en lisant ce torchon ?
RépondreSupprimerEt les « journalistes » qui le rédigeaient ?
http://www.influxus.eu/numeros/de-l-oeil-au-regard/article/structure-du-voir-dans-le-magazine
en deux mots le développement de ce type de presse est lié à l'essor de la photographie et à sa capacité à dramatiser.
A l'origine Détective utilisait des écrivains de chez Gallimard... loin d'être une presse du pauvre...
ce qui n'est pas sans faire écho à
Recherche philosophique sur l'origine de nos idées du sublime et du beau d'Edmund Burke.
Parmi les exemples que donne Burke du sublime (qui s’oppose au beau) il y a les exécutions publiques. Sade s'en est beaucoup inspiré (si ma mémoire est bonne)
J'ai un autre souvenir qui vient de remonter à la surface... J'ai un pote qui, à l'époque était en prepa et qui payait ses études en écrivant ce genre de littérature. Je me souviens d'un détail: il était obligé de boire beaucoup de café. C'était bien payé et il en écrivait à la chaine... Dans mon souvenir il avait du talent à revendre.
RépondreSupprimerEt toi? Tu t'es bien abonné au Monde... Je suis sûr que tu as lu tous les articles qui concernaient les agressions sexuelles à Cologne.
RépondreSupprimerSans doute... mais je ne vois pas l'intérêt de les réécrire à la sauce détective...
RépondreSupprimerhttp://johnwarsen.tumblr.com/post/137991441807/cologne-ses-immigrés-son-festival
...pour avoir plus de détails sordides.
RépondreSupprimer"quel genre de gens trouvait sa nourriture spirituelle en lisant ce torchon ?"
Le même genre de gens que ceux qui lisent le Monde.
Il n'y a pas de différences de nature entre nous et les monstres avides de sexe et de violence, seulement une différence de degrés.
et puis comme disait Hegel :
"les moments de bonheur sont les pages blanches de l'histoire"
Comme si la différence de degré était somme toute très secondaire. Sauf que c'est ce qui fait la différence entre vivant et mort. Par exemple si tu rentres dans un piéton à 5km/h avec ta bagnole il va te gueuler dessus. A 50km/h il est mort. Pourtant, il n'y a jamais qu'une différence de degré (cidre ou vodka). Bref, le crime est-il vraiment de même nature ? Je ne sais pas si le piéton en conviendrait.
RépondreSupprimerSb, je ne sais pas ce que tu cherches à prouver. Je crois que tu devrais arrêter de lire mon blog, ça te monte à la tête.
RépondreSupprimerJe suis moi-même un monstre avide assoiffé de sexe et de violence, mais ça ne m'affole plus, et surtout ça ne m'empêche plus de dormir (même si par ailleurs je dors peu).
Et je ne suis pas contraint par mes pulsions à les assouvir (au détriment de ma part divine, ou de celle des autres)
Je ne cherche pas à prouver quelque chose mais je réagis comme un troll à une idée qui m'agace... l'idée que c'est toujours l'autre le troll, le monstre, le raciste, le beauf, le con... Alors qu'il suffit de regarder en nous pour comprendre.
Supprimer"Comme si la différence de degré était somme toute très secondaire." Au contraire, je dis qu'elle est plus importante qu'une différence de nature.
RépondreSupprimerUn jour j'étais en voiture et je vois sur le trottoir quelqu'un qui chancelle. Je m'arrête et le type tombe sur ma voiture alors que je suis à l'arrêt. Je sors de ma voiture je le relève et là, il y a type qui déboule et qui me dit "vous l'avez renversé?" Je réponds que non... bref heureusement le type est revenu à lui et j'ai pu continuer ma route. Il aurait pu mourir sur ma voiture à 0 km/h
Je maintiens ce que je dis.
Là où je voulais en venir c'est qu'alors que Hannah Arendt parle de la banalité du mal Mathieu Ricard parle de la banalité du bien... ce qui revient au même sauf en degrés.
J'ajoute un lien france inter :
RépondreSupprimerhttp://www.franceinter.fr/emission-le-79-gerald-bronner-dans-la-radicalisation-chaque-etape-parait-raisonnable
et une citation:
Un ex adepte de l’ordre du Temple solaire m’avait donné une réponse qui m’avait frappée : « c’est un escalier dont les marches sont si petites que vous n’avez pas l’impression de les gravir ».
ah tu voulais juste relancer la guerre atomique !
RépondreSupprimerok, je vous laisse jouer, j'ai trop de boulot.
le berger allemand sodomise le 4 eme regiment a pau en ecoutant nana mouskouri a fond LOOOOOL !!!
RépondreSupprimerPUTAIN C'EST BON DE RIRE