jeudi 21 janvier 2016

Pourquoi il ne faut pas oublier les câlins


La psychothérapeute américaine Virginia Satir (sic) est formelle :
« Nous avons besoin de quatre câlins par jour pour survivre. Nous en avons besoin de huit pour fonctionner. Et de douze pour croître. »


Je suis loin du compte. 
D'où sans doute la naissance de Blasphémator®.
Et vous ?
A part ça, l'article est un peu formaté.
Je me rappelle le métro parisien : plus on était surcompressés aux heures de pointe, plus les gens essayaient de se soustraire au contact, même s'ils ne pouvaient guère faire plus que reculer la nuque.
Dans d'autres cultures, le contact physique est moins tabou que chez nous. En Inde, en Afrique, j'ai vu des hommes se tenir par la main sans que personne y trouve rien à redire... et l'islam, qui restreint le contact avec les femmes, n'explique pas tout.

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