http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2015/12/09/le-soudain-regain-de-popularite-dune-religion-mesopotamienne-en-islande/
Je vous l'avais dit, que ça serait bref.
Quoique je puisse brièvement commenter :
"Cette religion voue un culte à Zu"...
Ben moi, ça fait des années que je voue un culte à Maitre Zhu, (cliquez sur "Oui", vous ne serez pas déçus) et le gouvernement ne me paye pas un rond pour ça !
Alors, vaut-il mieux se mettre le doigt dans l'oeil, ou dans le culte ?
Et si le sage montre sa Lune, où va-t-on pouvoir aller s'empiffer après la séance de méditt' ?
Oh là là vraiment je suis trop drôle et vulgaire quand je laisse en moi Lucie faire, elle n'a pas son pareil pour chasser ma morosité ambiante.
Mais si tu as envie de ne pas rigoler un bon coup, mon ami, clique ici.
Ou là, à la rigueur.
Hashtag #Chidantonfrocpimeur.
Cyberdépendance virtuelle, auto-addiction, rédemption de l’objet fascinatoire, progrès dans l’intention de pratiquer le bouddhisme.
samedi 12 décembre 2015
vendredi 11 décembre 2015
Voutch (IV)
Je sens bien que je m'éloigne de mon lectorat de base.
N'oublions pas que même après l'éclatant succès remporté au Japon par mon aphorimse "la Réalité, c'est ce qui fait mal quand on éteint l'ordinateur®" que des thuriféraires un peu farceurs ont ailleurs détourné à des fins perverses qui ne regardent qu'eux (je n'en veux pour exemple que le consternant "La réalité, c'est ce qui fait mal quand on éteint le vibromasseur ©", mais après tout, comme les Le Pen, je considère que la mauvaise publicité reste quand même et avant tout de la publicité, à condition qu'ils me citent dans leurs articles de merde), je pense qu'il est temps de revenir à des valeurs sûres, qui ont fait ma renommée dans le Landerneau de l'éditorial musclé sur blog hyper-secret :
la collection de dessins de Voutch.
A tel point qu'on pourrait dire sans se gausser que c'est là la clé de Voutch de mon blurg, sauf en période d'incendies de poubelles, comme très récemment encore, à tel point que la branche armée de Veolia Propreté n'est même pas entrée en l'action.
Heureusement que mes lecteurs sont de vrais gentlemen, et qu'ils éteignent eux-mêmes spontanément (ou presque : en léger différé) les départs de feu qu'ils n'ont pas peu contribué à créer.
jeudi 10 décembre 2015
la course contre la honte (4/4)
C'est idiot, et étrange ... je continue la dérive lente, faite de ressacs.
Je crois que fondamentalement, l'idée de l'abstinence ne passe pas dans ma tête.
Je ne me sens pas de taille. J'espère me lasser, sans y croire. Je tiens, dans une vie qui tient un peu par miracle, aux limites, avec une bonne dose de mensonge par omission. Tout ça est bien fragile. Néanmoins, je m'intéresse aussi à autre chose niveau loisir, ça c'est mon vieux côté passionné. Je ne suis donc pas dépressif aigu, bien que malheureux.
C'est idiot, et étrange ... j'attends surement un événement, en actionnant les manettes à ma disposition : changement de vie, ... c'est déjà énorme ! J'aurai déménagé 2 fois et changé 4 fois de statut en 1 an 1/2 (boulot 1, chômeur, boulot 3, boulot 4 à venir). Peut être faut-il s'exiler loin, mais loin de toute connectique ? et alors, pourquoi ne pas l'envisager ? sinon, des médicaments. Je commence à me poser sérieusement la question ...
Bien à toi, la warsenure !
Je crois que fondamentalement, l'idée de l'abstinence ne passe pas dans ma tête.
Je ne me sens pas de taille. J'espère me lasser, sans y croire. Je tiens, dans une vie qui tient un peu par miracle, aux limites, avec une bonne dose de mensonge par omission. Tout ça est bien fragile. Néanmoins, je m'intéresse aussi à autre chose niveau loisir, ça c'est mon vieux côté passionné. Je ne suis donc pas dépressif aigu, bien que malheureux.
C'est idiot, et étrange ... j'attends surement un événement, en actionnant les manettes à ma disposition : changement de vie, ... c'est déjà énorme ! J'aurai déménagé 2 fois et changé 4 fois de statut en 1 an 1/2 (boulot 1, chômeur, boulot 3, boulot 4 à venir). Peut être faut-il s'exiler loin, mais loin de toute connectique ? et alors, pourquoi ne pas l'envisager ? sinon, des médicaments. Je commence à me poser sérieusement la question ...
Bien à toi, la warsenure !
Je lui réponds :
"t'as vraiment décidé de mourir la bite à la main et les bottes aux pieds comme un vrai cowboy ?
ton truc, c'est comme visiter le salon de l'auto sans pouvoir jamais acheter une seule voiture.
Se condamner au lèche-vitrines perpétuel, c'est de la cruauté mentale envers soi-même.
C'est un truc de smicard, pas d'ingénieur. (il va décrocher ce nouveau job, mais comme il s'est interdit internet à la maison, il ne surfe qu'au boulot et est un peu inquiet de se rendre compte que demain, il n'aura pas "droit à l'erreur" qu'il s'accorde aujourd'hui)
anyway, l'abstinence, c'est que pour aujourd'hui : hier c'est trop tard, et demain est hors de portée.
"J'espère me lasser, sans y croire." là franchement, j'ai trouvé mon maître dans le sophisme.
Je m'incline. Mais pas devant ma bécane.
"t'as vraiment décidé de mourir la bite à la main et les bottes aux pieds comme un vrai cowboy ?
ton truc, c'est comme visiter le salon de l'auto sans pouvoir jamais acheter une seule voiture.
Se condamner au lèche-vitrines perpétuel, c'est de la cruauté mentale envers soi-même.
C'est un truc de smicard, pas d'ingénieur. (il va décrocher ce nouveau job, mais comme il s'est interdit internet à la maison, il ne surfe qu'au boulot et est un peu inquiet de se rendre compte que demain, il n'aura pas "droit à l'erreur" qu'il s'accorde aujourd'hui)
anyway, l'abstinence, c'est que pour aujourd'hui : hier c'est trop tard, et demain est hors de portée.
"J'espère me lasser, sans y croire." là franchement, j'ai trouvé mon maître dans le sophisme.
Je m'incline. Mais pas devant ma bécane.
Enfin, pas aujourd’hui.
L’addiction est n’importe quelle activité humaine, utilisée pour sa valeur hédonique,
sur un mode plus ou moins déséquilibré.
"Le grand secret, c'est d'accepter sa fragilité, dans le sens de cesser d'alimenter en vain cette partie de soi qui refuse la faiblesse, et qui se montre faible justement par sa dépendance vis-à-vis d'une image idéalisée de soi. Dans ce cas, accepter sa fragilité, c'est alors couper le problème en plus petits morceaux, pour pouvoir le digérer: car tant qu'on porte en soi une partie qui refuse l'autre et qui réclame à son profit toute l'énergie pour poursuivre contre soi-même un combat sans fin, on n'est pas prêt d'arriver. Alors qu'en cessant ce combat-là, on récupère son énergie pour réellement avancer.
Il n'y a pas d'autre solution pour sortir d'une dépendance, que de cesser de vouloir se croire plus fort que le produit. Il faut accepter son impuissance, accepter que le produit est le plus fort. On peut alors commencer à être vraiment fort, aussitôt qu'on n'est plus dépendant d'une victoire sur le produit. Entendons-nous bien: vouloir être plus fort que le produit, c'est vouloir en consommer de manière maîtrisée, c'est vouloir se prouver qu'on est capable de le contrôler, alors qu'accepter que c'est lui le plus fort, c'est cesser de le fréquenter, c'est ne plus rechercher dans l'impossible victoire sur lui l'image d'un moi fort que seule cette victoire pourrait fournir, c'est sortir de cette quête illusoire qui entretient le cercle infernal de la dépendance."
Mon parcours, je peux le résumer fastoche :
Une liste variée de subterfuges pour échapper à cette vérité apparemment insoutenable :
de la naissance à la mort, nous sommes indiciblement seul (c'est pourquoi je retranche le s) dans notre pyjama en peau. Quand j'ai fini par accepter cette solitude comme une donnée de base plutôt que de la craindre comme une malédiction, et de vouloir la fuir à coups de compulsions paniques, l'équation a été plus facile à résoudre.
Tout plutôt que la solitude, tout plutôt que la liberté et la responsabilité de donner un sens à sa vie.
Une fois ce gros morceau bien indigeste avalé, reste la question des outils.
La réponse que je me suis donnée, c'est de les essayer tous, jusqu'à trouver ceux qui me convenaient.
Un psychiatre, le sevrage, la rencontre d'Orroz, le costume de chevalier blanc sur les forums, une thérapeute, du bouddhisme, des blogs, le travail, le jogging, le rebirth, les rencontres avec des dépendants, les comics en VO…
je mesure bien la chance que j'ai, et je comprends que je reste fragile, et puis redevenir la proie du tigre de l'addiction, prêt à me sauter dessus si je bouge, disons si je lève le coude ou si je commence à dégrafer mon ceinturon devant mon ordinateur, comme un vrai cow-boy fraichement arrivé en ville et qui se dit qu'il va se taper une cyberpute au saloon parce que ça fait 3 mois qu'il est dans le désert depuis trop longtemps, et que les vaches ça va bien un moment mais qu'elles ont une conversation somme toute limitée...
je mesure bien la chance que j'ai, et je comprends que je reste fragile, et puis redevenir la proie du tigre de l'addiction, prêt à me sauter dessus si je bouge, disons si je lève le coude ou si je commence à dégrafer mon ceinturon devant mon ordinateur, comme un vrai cow-boy fraichement arrivé en ville et qui se dit qu'il va se taper une cyberpute au saloon parce que ça fait 3 mois qu'il est dans le désert depuis trop longtemps, et que les vaches ça va bien un moment mais qu'elles ont une conversation somme toute limitée...
Bref. Un jour à la fois.
Le plus dur à trouver, c'est l'équilibre entre prudence et névrose. Je retrouve une note où une amie me rappelle que "L'addiction est plus ou moins le sort de chacun, bien que certains comportements compulsifs reçoivent des compliments, ce qui les fait passer pour autre chose. Il y a en effet des addictions à son travail, ou à la propreté dans la maison, p.ex. qu'on peut facilement observer autour de soi.
Un autre point qui m'est venu à l'esprit, c'est que le simple fait de vouloir en finir avec l'addiction provoque une tension qu'il va forcément falloir relâcher, et comme la manière habituelle de décompresser est justement l'addiction, il est parfaitement normal que ça reprenne de plus belle.
C'est pourquoi je pense que le conseil de *** proposant de remplacer l'addiction par une autre moins gênante est un excellent conseil. Reste à le mettre en pratique, et là l'obstacle peut paraître insurmontable, vu qu'on n'a pas l'impression que le nouveau jouet vaille l'ancien, impression qui se confirme aux premiers essais.
Bref, en pratique, après avoir soigneusement noté tous les détails possibles sur le sujet, (…) l'obstacle ici est fait de prendre les choses au sérieux. En effet ce comportement compulsif qu'on a bâti à partir de rien, a l'air d'une montagne, et c'est là que les observations glanées aux trois niveaux peuvent nous venir en aide, pour décider de ce qu'il en est réellement.
Comme dit Castaneda, les gens ne savent pas à quel point il est facile de laisser tomber une habitude; et s'ils ne le savent pas, ils savent autre chose au sujet de ce qui nous occupe, à savoir p.ex. que c'est difficile, long, qu'il y a des échecs fréquents, bref toutes sortes de choses très sérieuses.
Ce sérieux, c'est le fait de prendre nos idées pour une réalité de solide et immuable. Elles sont solides, en effet, ces pensées, pour peu qu'on leur prête vie, et immuables, si on les entretient, mais on peut parfaitement jouer à en inventer d'autres, qui seront non moins solides, et je suppose que c'est ce que font les bouddhistes tantriques qui en arrivent à prendre le thé avec leur yidam.
Jouer avec les pensées, ça permet de faire un petit peu bouger les noeuds qui nous lient à cette réalité bien précise qui est la nôtre, car nos prisons commencent avec une pensée.
Après cette prise en mains des pensées, il convient de choisir une autre "addiction pour jouer", et là il suffit de choisir parmi nos penchants naturels, quelque chose de non gênant. Si on a l'impression que ça ne marche pas, il faut se rappeler que c'est un jeu; on fait semblant en attendant de voir qu'on a fait semblant beaucoup auparavant, pour en arriver à créer cette réalité qui nous embête. "
"Tant qu'un homme n'a pas réalisé qu'il ne PEUT PAS s'arrêter, il continue de croire qu'il n'a pas de problème. Pourquoi? Parce qu'il est tellement fier qu'il ne supporterait pas de passer pour un drogué. Et pourtant... le reconnaître, c'est faire le premier pas vers la délivrance.
Vous avez tous remarqué que ce Forum s'intitulait ORROZ & Dépendances. Cela signifie bien que toutes les dépendances sont liées. Mais elles ont leur origine quelque part dans la psyché. Dans votre prime enfance ou lors de votre adolescence, ou plus tard quand vous avez commencé à devenir adulte mais que vous avez eu du mal à l'accepter. En fait, tous les dépendants sont des bébés qui ne veulent pas devenir adultes, cad s'assumer. Alors, ils conservent la tétine le plus longtemps possible (la clope au bec, le verre d'alcool, le pétard ou la dose de sexe virtuel). Une fois que vous avez compris ça, il faut se faire aider. Je le répète encore une fois: SEUL vous n'y arriverez pas aussi rapidement ! Alors, préférez-vous passer trois ans à vous sevrer, ou une seule année ?
Quand j'étais encore dépendant, je vivais une véritable dépression.
Moi aussi je suis passé par les "sites de célébrités (chanteuses, actrices...)" et "au bout de quelques minutes de navigation je me retrouvais à télécharger des trucs pornos..." Moi aussi, je me retrouve quand il dit qu'il serait capable de se "provoquer une maladie incurable pour que les gens viennent me consoler, me soutenir, me plaindre..."
Et comme j'étais psy, cela me fit alors prendre conscience que je n'avais pas résolu un problème majeur : celui de cet enfant intérieur qui avait souffert dans son enfance d'un abandon. Je me suis fait aider par un collègue et j'ai commencé à me sevrer car j'ai compris que je devais GRANDIR ! que me lamenter ne servait à rien, parce que si quelqu'un m'avait pris dans ses bras en me disant "oh le pauvre petit comme il a bien du chagrin", cela n'aurait rien changé à mon mal-être et je serais inévitablement retombé dans l'addiction. Ce n'est pas d'un câlin dont a besoin l'enfant blessé, mais de quelqu'un qui lui explique que la vie n'est pas un long fleuve tranquille et qu'il doit GRANDIR afin de se guérir lui-même de ses blessures.
a+
Orroz
Orroz
"Nous nous percevons comme des réservoirs vides ne demandant qu’à être comblés, et l’autre devient alors cette source à laquelle nous aimerions nous abreuver. Qu’il s’agisse d’une rencontre avec un maître spirituel ou avec une maîtresse ou un amant, nous devons réaliser que cette manière de rencontrer l’autre comme s’il était source de notre plénitude est une erreur fondamentale.
Je ne dis pas que les relations doivent être évitées mais qu’elles doivent être vues pour ce qu’elles sont : des lieux possibles d’expression de l’amour mais pas des échoppes où l’on viendrait s’achalander."
La question qui devrait hanter le dépendant ado ou adulte, c'est "combien de temps faut-il pour être sevré et pouvoir laisser trainer un regard amusé à la devanture du rayon hot du marchand de journaux à l'idée de ce que la frustration peut faire vendre ?"
Les dépendances sont liées. Mais elles ont leur origine quelque part dans la psyché. Dans votre prime enfance ou lors de votre adolescence, ou plus tard quand vous avez commencé à devenir adulte mais que vous avez eu du mal à l'accepter. En fait, tous les dépendants sont des bébés qui ne veulent pas devenir adultes, cad s'assumer. Alors, ils conservent la tétine le plus longtemps possible (la clope au bec, le verre d'alcool, le pétard ou la dose de sexe virtuel). Une fois que vous avez compris ça, il faut se faire aider. Je le répète encore une fois: SEUL vous n'y arriverez pas aussi rapidement ! Alors, préférez-vous passer trois ans à vous sevrer, ou une seule année ?
Il y a pour l'instant un commentaire client.
http://abonnes.lemonde.fr/pixels/article/2015/08/04/une-breve-histoire-de-la-censure-des-sites-pornographiques_4711451_4408996.html
Edit :
Objet : Blasphémator® matin et son supplément paroissial
http://abonnes.lemonde.fr/pixels/article/2015/08/04/une-breve-histoire-de-la-censure-des-sites-pornographiques_4711451_4408996.html
Edit :
Objet : Blasphémator® matin et son supplément paroissial
La pensée du suicide est une puissante consolation : elle nous aide à passer maintes mauvaises nuits. (Nietzsche)
mercredi 9 décembre 2015
Le revirement très inattendu quoique prévisible de John Warsen (Régionales 2015, premier tour)
"A droite on s'attendait à une vague bleue, et au final c'est plutôt une vague bleu marine"
"Celui qui s'endort avec le cul qui le gratte a de fortes chances de se réveiller avec le doigt qui sent"
Hé les gars les filles !
N'oubliez pas que dès 2012, j'étais avec vous, quand même.
Par l'esprit, sinon par le coeur.
Edit :
J'ai failli oublier mon message personnel au FN.
Tant de bonheur me fait perdre la tête.
Edit :
Et Pourquoi en France, au fait ? hein ?
(un journaliste de l'Immonde)
"Celui qui s'endort avec le cul qui le gratte a de fortes chances de se réveiller avec le doigt qui sent"
(Confus ? Suce ! , maitre spirituel de J.W.)
L'Année dernière à Marienbad, l’année prochaine à Buchenwald !
© Warsen, e-card early 2012
Technique mixte : selfie, Livres d'Art, photochope, Seroplex®
Hé les gars les filles !
N'oubliez pas que dès 2012, j'étais avec vous, quand même.
Par l'esprit, sinon par le coeur.
Edit :
J'ai failli oublier mon message personnel au FN.
Tant de bonheur me fait perdre la tête.
Edit :
Et Pourquoi en France, au fait ? hein ?
mardi 8 décembre 2015
Les climatosceptiques, au bûcher !
Les climatosceptiques, j’ignorais qu’ils avaient résisté à la vague de chaleur qui secoue la planète.
Au propre, au sale, au figuré.
Je pensais qu’ils avaient fondu.
Ces gens-là m’incommodent, et pas que Louis XVI.
Ils sont là, fichés dans le terreau de leurs convictions stupides, qui se trouve aussi être la Terre de mes ancêtres et de mes éventuels descendants, avec leurs panonceaux négationnistes, tranquille pépère, comme une offense à l’intelligence humaine qui a fini par comprendre que quand elle pète, ça pue, et qu’il est dangereux de craquer une allumette à proximité d’une cuve de méthane au joint d’étanchéité manufacturé Allah va-vite par des sous-traitants asiatiques pue scrupuleux et payés au lance-pierres.
Ca m’évoque un post ancien d’une anoyme peu connue :
« Et même lorsqu'il y a offense, il faut savoir que les gens sont rarement conscients de faire des offenses. Comme qui dirait, c'est "inconscient", et la part de l'inconscient dans le comportement humain est énorme. J'ai une expression pour ça : "ils sont de mauvaise foi de bonne foi". Et cela, tu n'y peux absolument rien. Si leur économie psychique nécessite qu'ils ne soient pas conscients de l'offense, ils auront des hallucinations plutôt que de voir le mal qu'ils font. Le mal n'est jamais conscient. As-tu lu Le chemin le moins fréquenté ? L'auteur, un psy, nous donne des exemples d'actes absolument diaboliques... dont leurs auteurs n'ont pas conscience.
Disant cela, je ne juge pas XX, mais son karma n'est pas le mien, et ne peut pas le devenir, tant que je ne le condamnerai pas. Et je ne le condamne pas, car pour sûr je ne le souhaite pas. »
Je ne saurais mieux dire.
Et qu'ajouter ?
Sinon qu'après les gens de mauvaise foi de bonne foi, en ce concerne les climatocyniques, j'ai bien l'impression d'avoir affaire à des gens de mauvaise foi de mauvaise foi.Désolé les gars, mais la planète se fuckin' réchauffe.
Même Obama s'en est ému, et pourtant il ne va pas souvent aux Emotifs Anonymes.
Après les Anonymousses au chocolat, voici donc le temps de les Anonymousses carbonique, pour faire baisser la température.
Pour les Anonymousses alcooliques, écrire au journal, qui transmettra.
Le djhadiste francais Salim Bengalem s'est caché parmi ces images pieuses.
Sauras-tu nous aider à le géolocaliser afin que justice soit faite ?
Au propre, au sale, au figuré.
Je pensais qu’ils avaient fondu.
Ces gens-là m’incommodent, et pas que Louis XVI.
Ils sont là, fichés dans le terreau de leurs convictions stupides, qui se trouve aussi être la Terre de mes ancêtres et de mes éventuels descendants, avec leurs panonceaux négationnistes, tranquille pépère, comme une offense à l’intelligence humaine qui a fini par comprendre que quand elle pète, ça pue, et qu’il est dangereux de craquer une allumette à proximité d’une cuve de méthane au joint d’étanchéité manufacturé Allah va-vite par des sous-traitants asiatiques pue scrupuleux et payés au lance-pierres.
Ca m’évoque un post ancien d’une anoyme peu connue :
« Et même lorsqu'il y a offense, il faut savoir que les gens sont rarement conscients de faire des offenses. Comme qui dirait, c'est "inconscient", et la part de l'inconscient dans le comportement humain est énorme. J'ai une expression pour ça : "ils sont de mauvaise foi de bonne foi". Et cela, tu n'y peux absolument rien. Si leur économie psychique nécessite qu'ils ne soient pas conscients de l'offense, ils auront des hallucinations plutôt que de voir le mal qu'ils font. Le mal n'est jamais conscient. As-tu lu Le chemin le moins fréquenté ? L'auteur, un psy, nous donne des exemples d'actes absolument diaboliques... dont leurs auteurs n'ont pas conscience.
Disant cela, je ne juge pas XX, mais son karma n'est pas le mien, et ne peut pas le devenir, tant que je ne le condamnerai pas. Et je ne le condamne pas, car pour sûr je ne le souhaite pas. »
Je ne saurais mieux dire.
Et qu'ajouter ?
Sinon qu'après les gens de mauvaise foi de bonne foi, en ce concerne les climatocyniques, j'ai bien l'impression d'avoir affaire à des gens de mauvaise foi de mauvaise foi.Désolé les gars, mais la planète se fuckin' réchauffe.
Même Obama s'en est ému, et pourtant il ne va pas souvent aux Emotifs Anonymes.
Après les Anonymousses au chocolat, voici donc le temps de les Anonymousses carbonique, pour faire baisser la température.
Pour les Anonymousses alcooliques, écrire au journal, qui transmettra.
Le djhadiste francais Salim Bengalem s'est caché parmi ces images pieuses.
Sauras-tu nous aider à le géolocaliser afin que justice soit faite ?
lundi 7 décembre 2015
La course contre la honte (3/4)
Ca n'existe pas, ça.
Dès qu'il y a trois ronds à faire avec quelque chose, le capitalisme se jette dessus comme la vérole sur le bas clergé breton, c'est tout.
Je serais à sa place, je ferais pareil.
Le porno n'est pas un besoin ou une pulsion "en soi" mais une façon pathologique de répondre à un besoin naturel : la pulsion sexuelle.
Notre appétence pour le porno est une habitude acquise, construite, et non un besoin.
Notre appétence pour le porno est une habitude acquise, construite, et non un besoin.
"Je redis encore que c'est surtout les premiers temps qui coûtent et ensuite, plus le temps passe et plus c'est gérable. Je suis vraiment l'exemple du gars qui a eu du mal à décrocher (tu peux relire mes témoignages pour preuve) donc si moi j'y arrive après être passé par des phases de grand désespoir je pense que beaucoup d'autres peuvent y arriver. J'ai essayé, essayé encore ...Je crois que l'important malgré la tristesse et le désespoir qui nous submerge parfois c'est de ne pas de décourager et de ne pas baisser les bras.
Chaque jour de pris est un jour de gagné.
Trois jours c'est trois jours, une semaine c'est une semaine de gagnée et un jour ou l'autre les circonstances extérieures font que l'abstinence dure plus longtemps, voire peut être pour toujours...mais ca on ne peut jamais en être sur ! Courage a toi !
Ne renonce jamais. Quoiqu'il t'arrive. A bientôt."
Chaque jour de pris est un jour de gagné.
Trois jours c'est trois jours, une semaine c'est une semaine de gagnée et un jour ou l'autre les circonstances extérieures font que l'abstinence dure plus longtemps, voire peut être pour toujours...mais ca on ne peut jamais en être sur ! Courage a toi !
Ne renonce jamais. Quoiqu'il t'arrive. A bientôt."
Il me semble que tu prends le problème à l'envers : que tu déduis de ton comportement (rechutes) que tu n'es pas très motivé.
C'est l'erreur de tous les dépendants.
C'est pas parce qu'on s'est cassé la gueule du vélo qu'il faut en conclure qu'on sait pas en faire, au contraire, y'a plus qu'à remonter dessus et réessayer.
La colère, ou n'importe laquelle des émotions perturbatrices, est dangereuse pour les pornoïques et peut les rapprocher de la rechute "par dépit" et vain espoir de consolation infantile.
Et nous ne sommes plus des enfants.
Ou alors de vieux enfants tristouilles, qui rêvent d'une dernière petite pipe de la Mère Noëlle (avec ses bottes, de préférence)
Et nous ne sommes plus des enfants.
Ou alors de vieux enfants tristouilles, qui rêvent d'une dernière petite pipe de la Mère Noëlle (avec ses bottes, de préférence)
Je crois que j'ai eu une putain de chance, car dans le fond je suis resté cyber-addict (le forum/mon blog/mon taf sur ordi), mais le motif du papier peint mental de ma cellule capitonnée ne s'orne plus de cravates (de notaire) au goût douteux.
Les fondamentaux sont effectivement sur le site d'Orroz.
Les cycles d'appétence (envie d'aller se faire sauter la rondelle sur tel ou tel site) et de soulagement (vraiment plus aucune envie de s'emmerder à se retrouver le froc baissé devant sa bécane, l'humiliation ultime) réduisent leur amplitude.
Moi aussi j'ai un dévorant besoin de reconnaissance, mais pour aujourd'hui la mienne me suffit - et attention à l'autosatisfaction.
La reconnaissance il faut l'entendre dans tous les sens : je me re-connais en tant que dépendant en sevrage, et j'éprouve de la gratitude envers vous tous qui avez rendu cela possible.
Les fondamentaux sont effectivement sur le site d'Orroz.
Les cycles d'appétence (envie d'aller se faire sauter la rondelle sur tel ou tel site) et de soulagement (vraiment plus aucune envie de s'emmerder à se retrouver le froc baissé devant sa bécane, l'humiliation ultime) réduisent leur amplitude.
Moi aussi j'ai un dévorant besoin de reconnaissance, mais pour aujourd'hui la mienne me suffit - et attention à l'autosatisfaction.
La reconnaissance il faut l'entendre dans tous les sens : je me re-connais en tant que dépendant en sevrage, et j'éprouve de la gratitude envers vous tous qui avez rendu cela possible.
"Et comme chacun sait, les démons trouvent à s'accrocher là où on les rejette. C'est cela qui les nourrit et les renforce. Inversement, si on les embrasse, ils n'ont pas 36 solutions, se dissoudre ou s'enfuir en criant kai kai. - Il y a aussi la possibilité où l'énergie du démon est très puissante, et là il est absolument impossible de les embrasser, on a soi-même le sang glacé et on est vidé de tout. Je pense que l'habitude aidant, on peut en subjuguer des plus en plus gros."
c'est un effet secondaire des hallucinations pornoïques : on prend les femmes pour des bouquins pornos et réciproquement.
On est totalement à côté du réel.
Et le signe qu’on est envouté, c’est qu’on ne pense pas à demander de l’aide.
On est totalement à côté du réel.
Et le signe qu’on est envouté, c’est qu’on ne pense pas à demander de l’aide.
"On peut effectivement choisir sa dépendance. La seule chose qu'on ne peut choisir, c'est de ne plus avoir de dépendance, pour cela il faut faire une ascèse. Mais je témoigne pour ma part avoir eu de multiples dépendances, et que rien n'est plus facile que de remplacer l'une par l'autre. On prend en général ce qui est le plus pratique : on ne se créera pas une dépendance au vélo si on habite à Lille. Mais à Cannes ou dans les Alpes, ça le fait bien. Si on n'aime pas le sport, on a le choix entre les séries télé, la lecture, les jeux videos, la bouffe, les animaux familiers... (je parle ici de dépendances de célibataires, je ne connais pas les autres). D'ailleurs j'ai justement un ami qui a décidé de couper certaines dépendances, et il a constaté que son esprit en retrouvait d'autres aussi vite. C'est pour ça que les cyberdeps en cours de sevrage me font marrer. Ils croient qu'ils vont être libres, alors qu'ils ne font que remplacer leurs chaînes pour d'autres plus pratiques et moins visibles.
"
Et le propriétaire du blog sur lequel a eu lieu cette déclaration ajoute :
"John, bien sûr que c'est un petit diablotin très malin qui m'a soufflé ça à l'oreille.
Tu ne crois pas que l'ado qui fume sa première cigarette n'est pas au courant que ça entraîne une dépendance ?
que celui qui se plante une aiguille ne sait pas où ça va le mener ?
Et pour aller plus loin, tu ne penses pas que celui qui se branche sur un site de Q ne se doute pas un peu qu'il est justement trop attiré par ce genre de choses ?
Que le type qui paie un abonnement à World of Warcraft s'imagine que c'est pour une semaine ?
Ou que si tu sors avec une fille, tu as 99% de chances de te retrouver sept ans plus tard avec une maison et une tripotée de bambins ? J'ai vraiment du mal à croire l'hypothèse de Kiki avec sa surprise totale. En plus, si tu regardes les sociétés tribales, ou même certaines civilisations proches, la plupart sont tous camés jusqu'à la moëlle. Et chez nous, c'était l'alcool au début du siècle et la cigarette et le café maintenant. A partir du moment où ça titille les voies du plaisir et de la récompense dans le cerveau, et à partir du moment où il y a habitude ou accoutumance, il y a dépendance. Alors soit c'est chimique et c'est la merde grave. Soit c'est psychologique et on peut remplacer plus aisément - je suppose du moins - une dépendance inutile par une autre utile. Il y a les dépendances qui sont valorisées socialement - et qui sont vraiment des dépendances car sitôt que ça s'arrête, c'est la cata - genre le boulot, le conjoint, les bambins. Aussi je pense que ceux qui choisissent une dépendance dévalorisée le font un peu exprès. En bref, dans l'ensemble, je pense que ce qu'on appelle une dépendance, c'est plutôt un manque de variété dans les dépendances.
Et qu'il y a problème à partir du moment où l'une d'entre elles bouffe toutes les autres. Je pense aussi que certaines personnes ne veulent pas être dépendantes à certaines choses, parce qu'ils sentent qu'ils prendraient une trop grosse gamelle en cas de pépin, donc ils vont se choisir une dépendance ailleurs. Maintenant, il faudrait demander l'avis d'un psychologue ou d'un neurobiologiste.
Je peux très bien me planter."
Et le propriétaire du blog sur lequel a eu lieu cette déclaration ajoute :
"John, bien sûr que c'est un petit diablotin très malin qui m'a soufflé ça à l'oreille.
Tu ne crois pas que l'ado qui fume sa première cigarette n'est pas au courant que ça entraîne une dépendance ?
que celui qui se plante une aiguille ne sait pas où ça va le mener ?
Et pour aller plus loin, tu ne penses pas que celui qui se branche sur un site de Q ne se doute pas un peu qu'il est justement trop attiré par ce genre de choses ?
Que le type qui paie un abonnement à World of Warcraft s'imagine que c'est pour une semaine ?
Ou que si tu sors avec une fille, tu as 99% de chances de te retrouver sept ans plus tard avec une maison et une tripotée de bambins ? J'ai vraiment du mal à croire l'hypothèse de Kiki avec sa surprise totale. En plus, si tu regardes les sociétés tribales, ou même certaines civilisations proches, la plupart sont tous camés jusqu'à la moëlle. Et chez nous, c'était l'alcool au début du siècle et la cigarette et le café maintenant. A partir du moment où ça titille les voies du plaisir et de la récompense dans le cerveau, et à partir du moment où il y a habitude ou accoutumance, il y a dépendance. Alors soit c'est chimique et c'est la merde grave. Soit c'est psychologique et on peut remplacer plus aisément - je suppose du moins - une dépendance inutile par une autre utile. Il y a les dépendances qui sont valorisées socialement - et qui sont vraiment des dépendances car sitôt que ça s'arrête, c'est la cata - genre le boulot, le conjoint, les bambins. Aussi je pense que ceux qui choisissent une dépendance dévalorisée le font un peu exprès. En bref, dans l'ensemble, je pense que ce qu'on appelle une dépendance, c'est plutôt un manque de variété dans les dépendances.
Et qu'il y a problème à partir du moment où l'une d'entre elles bouffe toutes les autres. Je pense aussi que certaines personnes ne veulent pas être dépendantes à certaines choses, parce qu'ils sentent qu'ils prendraient une trop grosse gamelle en cas de pépin, donc ils vont se choisir une dépendance ailleurs. Maintenant, il faudrait demander l'avis d'un psychologue ou d'un neurobiologiste.
Je peux très bien me planter."
La connaissance des causes de notre maladie peut nous la rendre plus "acceptable" (dans le sens où la haine de soi, le dégoût et la culpabilité nous feraient plutôt reculer qu'avancer vers la guérison) mais ne nous est pas d'une grande aide pour passer de cette culpabilité - qui nous a mené ici, louée soit-elle ! - à la responsabilité; je précise ça, parce que comme on dit aux AA, je ne suis pas responsable de ma maladie, mais de mon rétablissement.
On a tous contourné l'écueil du "difficile de rester concentré sur la négation d'une chose sans retomber sur la chose" : on s'est focalisé sur autre chose.
"La pornographie mène au viol et au meurtre en série" est une proposition logique où le lien causal est moins évident que dans "fumer tue".
Ce qui est certain, c'est que la pornographie mène à la confusion mentale, à la dégradation de (l'image de) la femme, et à une frustration et un dépit auprès de laquelle celle de l'écureuil Scrat dans le film L'âge de glace (celui qui n'arrive jamais à bouffer sa noisette) n'est qu'une contrariété passagère.
D'un autre côté, si on n'utilisait pas des arguments comme cela, personne ne réfléchirait à ses liens intimes avec la merchandisation des corps.
La pornographie semble augmenter la dose de malheur globale de ses usagers, et nous sommes de base déjà suffisamment mâles en poing pour refuser ça.
T'as une certaine propension à faire dériver la réflexion vers le débat d'idées.
A chaque fois que j'ai essayé de "la ramener" avec un débat d'idées, ça laissait les mains libres à ma dépendance pour m'en foutre un bon coup par derrière, voire même par-devant : j'étais occupé à débattre, c'est à dire à me débattre.
Et plus on se débat, plus on se fait abattre. C'est l'histoire du piège à singes, qui consiste à couper une noix de coco en deux, à la vider de son liquide et à y déposer quelques grains de riz avant de la refermer. Alléché par ces fruits suspendus aux arbres et aux clôtures, le singe plonge la main dans la noix de coco pour s'emparer du riz. Piégé par la noix de coco qui se referme, il se met à gémir et à crier, alors qu'il serait si simple de laisser le riz, de retirer sa main et d'ainsi échapper aux chasseurs.
Les opinions c'est les grains de riz, et j'éviterai d'ironiser sur les noix de cocos.
Jean Klein disait : « vous devriez observer les pensées comme vous observez une mouche » ce qui ne veut pas dire qu'il faut chercher à les enculer, et pourtant je m'y entends.
Les opinions c'est même pas des pensées, c'est des résidus de pensées des autres coagulées, et elles ont un coût exorbitant. Je tolère mes opinions quand elles ne contrecarrent pas mon rétablissement, c'est à dire quand elles ne réclament pas à être reconnues, encore moins à triompher.
Et plus on se débat, plus on se fait abattre. C'est l'histoire du piège à singes, qui consiste à couper une noix de coco en deux, à la vider de son liquide et à y déposer quelques grains de riz avant de la refermer. Alléché par ces fruits suspendus aux arbres et aux clôtures, le singe plonge la main dans la noix de coco pour s'emparer du riz. Piégé par la noix de coco qui se referme, il se met à gémir et à crier, alors qu'il serait si simple de laisser le riz, de retirer sa main et d'ainsi échapper aux chasseurs.
Les opinions c'est les grains de riz, et j'éviterai d'ironiser sur les noix de cocos.
Jean Klein disait : « vous devriez observer les pensées comme vous observez une mouche » ce qui ne veut pas dire qu'il faut chercher à les enculer, et pourtant je m'y entends.
Les opinions c'est même pas des pensées, c'est des résidus de pensées des autres coagulées, et elles ont un coût exorbitant. Je tolère mes opinions quand elles ne contrecarrent pas mon rétablissement, c'est à dire quand elles ne réclament pas à être reconnues, encore moins à triompher.
"Les émotions sont causées par les idées et non par les évènements" plus précisément par nos réactions aux évènements =>perçus de façon erronnée = > si on veut percevoir l'évènement sans l'interprétation qu'on lui colle dessus (ce que les bouddhistes appellent "la saisie"), la seule façon c'est de déconstruire notre réaction en ses composants intimes avant que la main mette l'allumette sous la mèche qui est fichée dans le baril de poudre.
C'est pour ça qu'on le fait avec quelqu'un : tout seul, le rituel est ancré, la machine bien huilée et on a bien souvent perdu l'espoir de démonter le mécanisme.
Avant Orroz, j'ai passé trois ans à cumuler des 30/45 jours de sevrage avec un psychiatre.
Il y a un an, j'ai pigé que j'avais "très peu de chances de m'en sortir", malgré le forum, qui joue son rôle de néocodion ou de programme méthadone, mais ne remplacera jamais un gros "lâchage de paquet" auprès d'un être humain en chair et en os et j'ai fait une thérapie de 6 mois avec une thérapeute (elle était très jolie d'ailleurs) qui m'a permis de me stabiliser.
On ne peut pas s'envoler en tirant sur ses lacets.
D'autant plus que sur la planète Branlor, la gravité est très forte.
Etre l'esclave de nos appétits, avec ou sans l'illusion de les maitriser, c'est la promesse sans cesse tenue (et payée cash) de la damnation à la petite semaine.
Refrain de fin d'épisode :
Il y a un an, j'ai pigé que j'avais "très peu de chances de m'en sortir", malgré le forum, qui joue son rôle de néocodion ou de programme méthadone, mais ne remplacera jamais un gros "lâchage de paquet" auprès d'un être humain en chair et en os et j'ai fait une thérapie de 6 mois avec une thérapeute (elle était très jolie d'ailleurs) qui m'a permis de me stabiliser.
On ne peut pas s'envoler en tirant sur ses lacets.
D'autant plus que sur la planète Branlor, la gravité est très forte.
Etre l'esclave de nos appétits, avec ou sans l'illusion de les maitriser, c'est la promesse sans cesse tenue (et payée cash) de la damnation à la petite semaine.
Refrain de fin d'épisode :
Marchand de rêves
Avec ta barque creuse
Entourée de femmes malheureuses,
Marchand de rêves
Au bord du lac de sang,
Y a plus personne debout
Quand le soleil descend
Et tous les enfants jaunes
Aux yeux de faune
Comme des ballons qui crèvent
Marchand de rêves.
dimanche 6 décembre 2015
"Petits" partis aux élections régionales d'Île de France
Le parti d'en rire
Le parti d'Henri
Le parti du pire, too pire (bon là je mets pas de lien, le choix est vaste...)
On s'y perd un peu, d'ailleurs.
Heureusement qu'un homme veille à la diffusion de la Connaissance.
Dans mon enveloppe électorale et républicaine de Loire Atlantique, il y a de subtiles variantes par rapport à la sienne, mais globalement c'est du même tonneau de morues dessalées.
J'irai pourtant voter tout à l'heure, je ne vois pas quoi faire d'autre.
Pour me motiver, je regarde la journée d'un fasciste, par Luis Rego.
Ca n'a pas vieilli.
Le Pen a vieilli, Rego a vieilli, mais leur oeuvre reste.
Même si tout cela ne vaut pas une bonne bataille de boudin blanc à la veille de Noël.
J'aime bien aussi le boudin noir, sauf Dieudonné, nuisible non comestible.
D'autant plus que les enjeux des régionales ont été complètement occultés, voire passés carrément Allah Trappe, depuis les attentats de Paris.
Où sont les grands débats politiques d'antan ?
Le parti d'Henri
Le parti du pire, too pire (bon là je mets pas de lien, le choix est vaste...)
On s'y perd un peu, d'ailleurs.
Heureusement qu'un homme veille à la diffusion de la Connaissance.
Dans mon enveloppe électorale et républicaine de Loire Atlantique, il y a de subtiles variantes par rapport à la sienne, mais globalement c'est du même tonneau de morues dessalées.
J'irai pourtant voter tout à l'heure, je ne vois pas quoi faire d'autre.
Pour me motiver, je regarde la journée d'un fasciste, par Luis Rego.
Ca n'a pas vieilli.
Le Pen a vieilli, Rego a vieilli, mais leur oeuvre reste.
Même si tout cela ne vaut pas une bonne bataille de boudin blanc à la veille de Noël.
J'aime bien aussi le boudin noir, sauf Dieudonné, nuisible non comestible.
D'autant plus que les enjeux des régionales ont été complètement occultés, voire passés carrément Allah Trappe, depuis les attentats de Paris.
Où sont les grands débats politiques d'antan ?
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