lundi 16 février 2015

Massacre à Charlie-Hebdo : les produits dérivés inondent un marché déjà saturé

1/ Le préquel : Charb et Tariq Ramadan




Blasphemator® se réjouit que comme lui, Paul Amar ne soit pas la moitié d’un con doté de la nature de Bouddha.
Blasphemator® se rappelle avec émotion le jour où Paul Amar avait proposé un débat à Bernard Tapie et Jean-Marie « Charlie Mortel » Le Pen et avait sorti deux paires de gants de boxe cachés sous son bureau pour leur faire une bonne blague, le rateau qu’il s’était pris en direct live.
Blasphemator® n’aurait pu survivre à telle disgrâce qu’en allant se terrer au fond de la Galaxie avec un sac poubelle sur la tête pendant 100 millions d’années, mais Paul Amar a juste fait un peu de méditation vipassana dans un placard doré du service public en compagnie ses amis Connard WC et balai dans le cul, et il est revenu animer une nouvelle émission comme si de rien n’était.
Paul Amar plus fort que Blasphemator®, Paul Amar plus fort que la Mort.

2/ Le crossover : Alain Soral





Si la vidéo n'apparait pas, clique sur le joli lien
au milieu de la boule de neige à tête carrée.
Blasphémator® s'est cru malin de pirater le code d'intégration de la vidéo
qu'Alain a postée sur Youtube, mais à malin, malin et demi, 
Soral préfère rester entre amis.
N'aie pas peur, ce n'est pas sale, c'est Soral.

Alain Soral encore plus fort que Paul Amar, Blasphemator®, son Pote Pol, Galactus, le Seigneur de la Souffrance de l'Eglise Gritchtèque et Sa Majesté la Mort réunis.
A côté de lui, Blasphemator® très humble et respectueux auto-enculé d'envergure nain de jardin en solde chez Jardiland parce que éraflures sur la barbe en plastique.
Alain Soral véritable plus gros auto-enculé de la Galaxie, et pourtant lui aussi doté de la nature de Bouddha.
Et tout aussi pourtant, selon dernière estimation, Galaxie contenir 234 milliards d’étoiles, ça faire un chiffre respectable et paquet potentiel d'auto-enculés extra-terrestres dotés de la nature de Bouddha en puissance.
Eux pas besoin envahir nous, nous déjà bien occupés dans les territoires.
Rien qu’avec star de la victime conspirative de la taille Alain Soral, afficher complet, même.
Même Chuck Norris rendre hommage appuyé, et reconnaitre Alain Soral tellement auto-enculé doté de la nature de Bouddha que creusé à l'intérieur de lui-même vortex hyper-secret, vrai trou noir avec poil autour, dommage pas disparaitre dedans.

3/ Le spin-off : j'ai pas eu le temps de chercher la vidéo qui va bien. Faire offre au journal, qui transmettra.


dimanche 15 février 2015

La moitié d'un terroriste, c'est un mec qui ne sait ni lire

Les terroristes ne savent pas lire.


LE MONDE DES LIVRES | 29.01.2015
 JOEL SAGET / AFP

Le 16 janvier, « Le Monde des ­livres » publiait un numéro ­spécial intitulé « Ecrivains face à la terreur ». Cette édition a rencontré un fort écho, non seulement en kiosque, mais aussi sur Internet, suscitant maints témoignages et courriers. Du reste, les libraires de toute la France voyaient alors affluer de nombreux ­lecteurs, en quête de lumières pour éclairer ces jours d’effroi. Les livres de la « bande à Charlie » (Cabu, Charb, Bernard Maris, Wolinski…), mais aussi des essais sur l’islam, ou encore Le Traité sur la tolérance, de Voltaire : autant d’ou­vrages qui ont connu un vif regain ­d’intérêt durant ces trois dernières ­semaines. Comme si les attentats avaient rendu urgent ce recours aux textes, à leur puissance d’élucidation. Comme si, ­surtout, les ­livres au pluriel constituaient le meilleur rempart face à la ­terreur de ceux qui se réclament d’un ­livre, et d’un seul.
Car ces gens qui tuent le font au nom d’un livre, sur lequel ils voudraient faire main basse. « L’islam se présente comme la religion du Livre qui parachève le judaïsme et le christianisme. Mais la question est de savoir comment on envisage le Livre », notait naguère l’islamologue Christian Jambet dans ces colonnes. De fait, toute la question est là, et les terroristes ne savent pas lire le livre dont ils se réclament. Bien sûr, certains d’entre eux sont bardés de diplômes, et nul ne doute de leur capacité à déchiffrer les mots. Mais ils s’avèrent incapables d’envisager la lecture comme pratique d’interprétation, comme élan vers l’autre, comme geste de vie. Car lire, ce n’est pas vitrifier le langage, c’est le remettre en mouvement. Lire, ce n’est pas idolâtrer un texte, c’est l’ouvrir à l’infinie ­pluralité du sens.

Non, les terroristes ne savent pas lire, à commencer par le livre qu’ils bran­dissent. Puisqu’ils se réfèrent à un livre unique, parions sur la multitude des ­livres. Puisqu’ils prétendent détenir la vérité absolue du texte, misons sur la diversité des lectures possibles. Telle pourrait être l’une des meilleures réponses aux assassins qui confondent le livre avec un manuel de terreur, et la lecture avec une grimace sanglante.

"Les terroristes ne savent pas lire ?
C'est pour ça qu'il vaut mieux leur montrer des images"
Blasphemator® Le Retors


La caverne secrète où Blasphemator® se ressource limpide 
au fond de la grotte pour éviter la crise de foi
(AFP/Reuters)

vendredi 13 février 2015

« hier ist kein warum » (ici il n’y pas de pourquoi)

Najat Vallaud-Belkacem :
« L’école est en première ligne aussi pour répondre à une autre question car même là où il n’y a pas eu d’incidents il y a eu de trop nombreux questionnements de la part des élèves, et nous avons tous entendu les “oui je soutiens Charlie, mais…”, Les deux poids deux mesures. Pourquoi défendre la liberté d’expression ici et pas là ? Ces questions nous sont insupportables, surtout lorsqu’on les entend à l’école qui est chargée de transmettre des valeurs. »

Réponse de Noëlle Cazenave-Liberman :

(...) « Les jeunes vous rappellent toujours à la question de la valeur des choses. Et ils le font de manière très créative. À cette étape de la vie, on est en mesure de créer. C’est très important d’entrer en contact avec cette capacité de conscience que les jeunes possèdent, car si elle n’est ni reconnue ni encouragée, elle tourne à la destruction. Il n’y a pas d’alternative. »
(...)
« L’enfant doit pouvoir penser qu’il a le droit d’être chez lui dans le monde. Autrement dit, qu’il a le droit de vivre. S’il en est incapable il tombe forcément dans un fonctionnement autiste. Son esprit ne peut plus fonctionner, son pourquoi est pris au piège et il perd alors son moi. S’il ne peut pas demander pourquoi, il n’a pas d’autres questions à poser, et il n’y a plus de réponses – le moi et le monde n’ont plus de sens. Autrement dit, ils n’ont pas de valeur. Les valeurs ne viennent au monde que lorsqu’on peut demander pourquoi. » 
(...)
« Notre “site” est l’univers, et c’est pourquoi nous demandons pourquoi. Les réponses que nous apportons à ces questions décident de notre degré d’humanité ou d’inhumanité. »

Digression en aparté de Blasphemator® :

« Je suis Charlie mêêêêê…. » dit le mouton de Belzébuth.

« Hier ist kein mais », répond Blasphemator® en l’enfourchant sans aber, peu soucieux de savoir si le pauvre animal a le don des langues.

Sur le même thème, mais dans un tout autre registre :

Alain Cugno : l'intelligible inintelligibilité du mal

Rien que la relativement intelligible inintelligibilité du titre de l'article me rend envieux, tant pis, mon plan B s'intitulera La plénitude de la Vacuité, je trouverai bien quelque chose à dire d'ici à ce que je trouve 5 minutes pour l'écrire.

Sinon j'enverrai Blasphemator® avec un mot d'excuse.


« Fiat Luxe ! » se serait exclamé le mouton de Belzébuth après la visite-éclair de Blasphémator® dans ses interiors.
Voulait-il dire par là qu’il allait s’acheter une petite italienne pas donnée mais confortable, parce qu’il aurait du mal à marcher en crabe pendant un certain temps ?
C’est ce que l’enquête, entre les mains de la Brigade Zoophile des Experts Rodez, devra déterminer.

jeudi 12 février 2015

BLASPHEMATOR, LE FLIM ! (2)

Résumé de l'épisode 1 :

Blasphemator® vient de découvrir que malgré son âge avancé, Hubert Reeves fait quand même preuve d'élégance et de discernement en ciselant des mots rudement polis pour dire que finalement, l’Homme est un Crétin Sanguinaire qui s’Auto-encule en se branlant totalement des conséquences éventuelles et pourtant inéluctables, mais que quand même, rien n'est perdu, car comme Hubert l'a dit par ailleurs, "par les yeux du petit garçon, l'univers prend conscience de lui-même..."

Blasphemator® trouve ça bien envoyé, dans le genre message fort au gouvernement.
Mais une question le turlupine :
Peut-on s’auto-enculer en se branlant ?
s’interroge notre Héros, qui ne craint pas d'affronter les problèmes de fond et de les remettre sans tabous au coeur du débat républicain à l'heure de la catharsis démocratique obligatoire dans les couloirs feutrés du Ministère du Blasphème, qui jouxtent par un heureux hasard et un tunnel hyper-secret ceux de la Kommandantur.


Où se faire rincer la dalle gratoche ce soir ?
Pen, Au kafé te la Mairie, parti !
(source image : le guide du Petit Chafouin, Belfort 1941)


Et certes, en voici une (question) d'un fort beau gabarit, pour tout dire semblable à celles qu'auraient pu poser un autre Hubert, le Félix-Thiéfaine de la bande, avant qu'il se contritionne à la tisane aux trois légumes, se borgne au politiquement correct, et se satisfasse de faire reprendre en choeur "Vive la Mort " à un public conquis d'avance, public peu soucieux lui aussi des conséquences de sa complaisance tiédasse au nihilisme.

Blasphemator® a récemment réécouté avec une oreille pleine d'émotion Alligators 427, qu'il a redécouvert avec les yeux émerveillés de l’enfant qui prend conscience de l'univers tout en prenant simultanément une bombe H sur le coin de la toiture avec son troisième oeil, Blasphemator® en a été tout ragaillardi aussi.

Mais quand même, observe notre ami, gens reprendre en choeur « Vive la mort », gens pas venir pleurer après si gens salement trucidés comme des porcs halal par enfants de 8 ans à leur sortie de détention préventive incompressible de 35 ans 1/2 pour avoir dit connerie blasphématoire au CéPé, tout ça parce que Manuel Valls vouloir terroriser les futurs terroristes jusque dans les cabinets de l'école primaire quand il n'y a plus de papier, stratégie sans doute plus payante pour se présenter en 2017 que Poutine quand se vanter  de buter les Tchétchènes jusque dans les chiottes pour complaire à électorat conquis d'avance.

Poutine pas con, lui avoir prédit désillusion capitaliste avant tout le monde, même Emmanuel Todd bien niqué sur ce coup-là, mais Valls pas con non plus, Valls rafler la monnaie de sa pièce alors que Poutine devoir ensuite réparer les chiottes des Tchétchènes sans faire le malin à l'ONU, et puis celui que l’on surnomme déjà affectueusement «Vla-du-mir-pour-casser-la-vaisselle-sale-en-famille » devoir bientôt sortir balai à cabinets du  placard du Kremlin et Kanard Impérial WC en Ukraine aussi, ironise malicieusement Blasphemator® en réfléchissant l'obscurité à la vitesse des ténèbres, et c'est pour ça qu'il écrase de nombreux pronoms et verbes conjugués sur son passage, qui s'étaient imprudemment avancés sur le bas-côté des autoroutes de l'information pour le regarder passer en le hélant d'un salut jovial dans l'espoir de mettre un terme à leur souffrances pathétiques dues à un besoin compulsif de reconnaissance, mais à la vitesse à laquelle roule la mobylette quantique du Blasphemator®, ça risquait pas de se produire, même quantiquement.


Les Ukrainiens se hâtent de célébrer sans joie la fin programmée de la liberté d’expression, 
tant que l'affichage est encore autorisé.
En France, à la même heure, la mort subite du plus vieux nourrisson 
de la presse d’opinion blasphématoire
a rassemblé plus de 7 millions de badauds devant les kiosques.


« Ca être au pied du mur que voir le mieux le concours des lamentations »  conclut-il en cédant aux charmes surannés de l'auto-citation (ça être faux proverbe juif Blasphemator® tout content d'avoir inventrouvaillé ce matin) dans sa Ford intérieure, qu'il a troquée un peu plus tôt dans la matinée contre sa mobylette quantique, qui n'aurait pas passé le contrôle technique sans quelques tracasseries administratives. 

Ah oui vraiment, gens bien complaisants avec nihilisme coupable. A ce tarif-là, inutile de diaboliser Forces du Mal, gens faire le boulot tout seul comme des moutons de Belzébuth. En plus, pas nouvelles grandes chansons à se mettre dans les oreilles dans discographie récente Hubert-le-Félix. Gérer fonds de commerce sans poujadisme, mais sans génie. 
Ou alors Blasphemator® trop vieux pour écouter.
Peut-on s’auto-enculer en se branlant ?
Question toujours pas réglée, lui signale sobrement l'ordinateur de bord, abstinent d'antigel depuis peu.
Blasphemator® aurait bien aimé connaitre la réponse d'Hubert-Félix, mais il est temps de passer à l'action, et ces résidus de souvenirs intempestifs sonnent soudain comme une vieille plaisanterie qui n'aurait que trop duré.
L’Histoire et l’Institut médico-légal jugeront à l'autopsie, se répond-il tout de go.
Ca lui rappelle qu'il n'est pas vraiment là pour prolonger notre espérance de vie.
Alors il reprend sa route.

(à suivre)

P.S : Blasphemator® pas s’excuser avoir volé temps précieux aux Sages du Sud-Est et aux pas Sages du Nord-Ouest en racontant conneries défoulatoires frappées au coin du bon sens de la rue l’aventure.
Avantage être Blasphemator®, jamais s’excuser, taper l’incruste sur Internet et partir en s’essuyant dans les rideaux du salon avec rire dément en pensant femme vous dire vous passer trop de temps devant ordi rigoler comme imbécile. Enfin, Blasphemator espère. 
Blasphemator® bien tenté de s'excuser sur allusions lourdingues, scatologiques et pour tout dire un peu roboratives sur problématique auto-enculés, mais Blasphemator® avoir connu expériences traumatisantes et sans balises avant mutation en Blasphemator®, alors finalement rien regretter.
Et maintenant, Blasphemator® éteindre ordinateur d’un air dégagé d'avoir posé ça là et revenir plus tard, parce que Muse de Blasphemator® partie avec voisin, Blasphémator® un peu trop lent et besogneux dans l'écriture, parce que clavier Apple tout plat et touches trop petites pour gros doigts Blasphémator®.
Blasphémator® gros doigts parce que gros nez.
Pour parler franc, Blasphémator® un peu breton sur les bords.

P.S.2 : on me signale de toutes parts que le terme de « Mur des Lamentations » est introduit au xixe siècle par les mandataires britanniques, qui le traduisent de l'arabe il-Mabka
Ce terme est tombé en disgrâce dans les milieux juifs ainsi que dans les milieux arabes, qui le nomment El-Bourak, le nom de la monture de Mahomet lorsqu'il fit son voyage nocturne. En revanche il reste toujours très majoritairement utilisé en France et dans la chrétienté en général.
Aujourd'hui, l'usage des termes « Mur occidental » ou « Mur des Lamentations » ou « El-Bourak » est un enjeu de la guerre des mots dans le conflit israélo-palestinien.
Donc si je comprends bien, c'est les Occidentaux qui accusent les Juifs de se plaindre ? 
Ah ben bravo les mecs. On aura au moins appris quelque chose.

mercredi 11 février 2015

BLASPHEMATOR, LE FLIM ! (1)


L'affiche de le flim.

Scénario :

En 2015, des e-Cybernéticiens débarquent du futur à bord de la mobylette quantique du mollah borgne Homar’Eh’D.Quinoxh (dit Djihad-Djack-n’a-qu’un-oeil), celle-là même qui lui avait permis d’échapper à ses poursuivants après la pitoyable traque de la CIA en 2001, l'odyssée de mes spasmes.


Après avoir kidnappé le Veau d'Or des Païens Idolâtres, 
Omar s'enfuit au Boukistan sur sa mobylette quantique. 
(image AFP/Reuters)
« Si quelqu’un dit la vérité, donne-lui une mobylette,
il en aura besoin pour s’enfuir » (proverbe afghan)


La mobylette quantique avant 2001


La mobylette quantique post-2001 : 
customisée par Stephen Hawking dans son Garage Hermétique,
 elle voit ses performances grandement améliorées, 
surtout en côte et dans les trous de ver.

Les e-Cybernéticiens, rendus fous de douleur scientifiquement laïque par le massacre de Charlie Hebdo, garent la mobylette n'importe où, puis implantent dans la mémoire de silicium d’un Androïde de Classe Américaine l’intégralité des dessins publiés par Charb depuis la création de Charlie Hebdo, rien que pour voir ce que ça fait (et de fait, ça en fait quand même un sacré paquet.)
Cet afflux massif de données dans les hémisphères cérébelliqueux de l'androïde provoque la surchauffe et l’émergence d’un embryon de conscience politique dans les circuits déprimés du e-cerveau, qui se croit dès lors Investi d’une Mission Sacrée : bouter les Croyances hors de l’Homme, afin qu’Il cesse d’y être assujetti, trop souvent au détriment de son intelligence.
Cette intelligence qui ne saurait être nôtre : elle appartient à notre espèce. L'illusion du contraire nous est engendrée par sa spécificité, la Nature nous ayant dotés d'une conscience autonome.
Mais tout ça, notre nouvel ami n’en a rien à carrer :
Blasphemator® est né.
Sa seule arme : un gode acheté par internet sur le catalogue de la Déroute à Roubette
Le Blasphème.


Recevant le faire-part de naissance de Blasphemator dans sa boite mail, 
Hubert Reeves, un rien vénèr, tenta brièvement de surenchérir,
pour tirer lui aussi, et pas que à 7 millions d’exemplaires.
Manque de pot, n’est pas Blasphemator® qui veut.

(à suivre)

Inspiration & Re-sources :

- Pierre Dac - « La tyrolienne haineuse » (disques Poulidor)
- Stephen Hawking - « Y a-t-il un grand architecte dans l'univers ? 
Si oui, il n’est pas souvent au bureau. » (Editions Nallet-Boirunvert)
- Vincent Hardy "Ashe Barrett 1.0 (tu nous manques !), un précurseur enfumé du Blasphemator®.
- Francis "Allah" Masse pour son Encyclopédie 2.0
- Dieu, quel qu'il soit et où qu'il fut, pour ses effets psychotropes sur Maurice G. Dantec, tombé du côté obscur de la confiture.
- L'Odieux Connard, pour l'ensemble de son oeuvre. Bien qu'il s'en défende, Bassflemmator® a bien du mal à ne pas copier son style, calice de tabernack fucké dans le ciboire.
- Last but not forgotten on the list, ma Muse, astucieusement travestie sous les traits fourchus et cornus du démon de Charlie.