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mercredi 4 avril 2012

Even Cthulhu Gets The Blues

http://craigrobertson.wordpress.com/2012/04/01/i-added-horns/

Normalement je devrais poster ça sur mon caveau, mais le parking est plein.
Et ma mère dans tout ça ?
Ben aux dernières nouvelles, elle est toujours morte.

vendredi 30 mars 2012

Killer, est-il ?


Quand on voit ce convoi de films qui circulent, genre suissi, pris aujourd'hui au hasard des horaires de l'Hagard :

... on se dit, avec ce bon sens de gentleman farmer près de chez vous, que c'est pas après qu'la poule a pondu qu'elle doit serrer les fesses.

Tu m'entends, Josiane ?

Le problème, c'est que la société, c'est pas une poule.

Extraits des grimoires de JD :

Les individus sont seuls à pouvoir évoluer parce qu'ils sont seuls à exister. (R. p.107)

La douloureuse histoire des humains tient tout entière dans une dualité : l'essence et l'existence. Nous en sommes écartelés parce que, depuis toujours, l'existentiel est polarisé à l'envers, et il n'est pas difficile de comprendre pourquoi : les hommes simiesques sont mille fois plus nombreux que ceux qui sont humains. ...Voilà pourquoi l'intellect est si discrédité : monopolisé, par les singes, les dés étaient pipés.
L'essentiel est orthogénétique, l'existentiel a toujours été rétrogénétique. D'où la dichotomie dont nous souffrons. Nous sommes écartelés entre l'Homme et le Singe. Nous concilions tant bien que mal cette dualité dans nos personnes en chérissant des idéaux. Elle nous a toujours condamnés à être des singes sociaux. (leç.9/24)

L'existentiel constitue notre "moi" et appartient aux individus. C'est la part d'eux-mêmes dont les individus font apport à l'espèce, la part habilitée à acquérir des caractères nouveaux, acquisition qui est la condition sine qua non de l'Evolution. (Jeux/81)

L'instinct, qui ne trompe jamais les autres espèces, a pour fonction nécessaire de tromper les humains. Les instincts, qui sont les génies tutélaires des autres espèces, sont aux humains des démons qui les torturent, qui les "possèdent" et qui les "perdent" ! Or cette aventure est unique : l'instinct ne trompe que nous.
La cause fondamentale du malentendu qui oppose l'Homme à la nature, c'est que l'inconscient spécifique (l'instinct) nous envoie et doit nous envoyer des messages qui s'adressent à l'espèce et ne se soucient pas des individus. Mais, de toute évidence, les individus sont seuls à pouvoir recevoir les messages et exécuter les ordres, puisque l'espèce n'a pas de vie existentielle. L'espèce, qui est une abstraction, n'existe pas. Les individus existent seuls. Dès lors la nature s'est trouvée dans un cas difficile : les tâches évolutives qui libèrent l'Homme de ce qu'il lui reste d'instincts animaux incombant nécessairement aux individus, il a bien fallu que ceux-ci reçoivent dans leurs instincts l'ordre de lutter contre l'Instinct ! (Jeux/81)

jeudi 22 mars 2012

La Vengeance de Seroplex®

Pour anticiper sur une charette de 72 heures qui se profilait au Birau, j'ai avalé 2 fois 10 mg après un mois d'abstinence.

C'est reparti pour un tour de manège...

Je vais essayer de ne pas attraper la queue du Mickey...
merci à Captain Frankie, grâce à qui je me sens moins seul.

dimanche 18 mars 2012

Dédé la Branlette, le retour


Le sexe ni la mort : trois essais sur l'amour et la sexualité 

  par André Comte-Sponville Voir tout son univers


  • Essai (broché). Paru en 01/2012
« Le soleil ni la mort ne se peuvent regarder fixement », écrit La Rochefoucauld. Cela fait au moins une différence avec le sexe : le regarder fixement, voilà ce que peu d’hommes et de femmes, de nos jours, s’interdisent ou redoutent. Pourquoi, s’agissant de sexualité, est-ce pourtant cette formule qui m’est venue, jusqu’à me fournir, ou peu s’en faut, mon titre ? Peut-être parce que l’essentiel, ici aussi, échappe au regard, ou l’aveugle, tout en continuant de le fasciner. Le sexe est un soleil ; l’amour, qui en vient, s’y réchauffe ou s’y consume. Les mortels, disaient les Anciens pour distinguer les hommes des animaux et des dieux. Nous pourrions, tout autant, nous nommer les amants : non parce que nous serions les seuls à avoir des rapports sexuels, ni à aimer, mais parce que le sexe et l’amour, pour nous, sont des problèmes, qu’il faut affronter ou surmonter, sans les confondre ni les réduire l’un à l’autre. Cela définit au moins une partie de notre humanité : l’homme est un animal érotique. » André Comte-Sponville Philosophe humaniste, André Comte-Sponville est l’auteur de nombreux ouvrages qui, par leur clarté et leur pédagogie, mettent la philosophie à la portée de tous et connaissent un succès qui ne se dément pas ; ainsi de L’Esprit de l’athéisme (2006), du Capitalisme est-il moral ? (2004, rééd. 2008) et du Goût de vivre (2010) chez Albin Michel.

Le retour en fanfare de Dédé la Branlette, ainsi que le surnommait affectueusement Jean-François Raguet.
 Un surnom qu'il n'usurpait pas tous les jours, mais chacun réussit à s'exprimer avec son héritage, ses camions de mots, ses valises de réflexes, et j'ai des fois trouvé quelque réconfort dans sa prose quand j'étais mouamème branleur non abstinent. 
Je me souviens en particulier d'un article assez honnête sur le deuil, paru dans un numéro spécial Deuils (quelle surprise !) de la revue Autrement;
Et Michel Onfray Mieu De Mécouté, qu'en penserait-il ?
Je ne sais pas, et je ne sais même pas ce que j'en penserais moi-même, vu que je n'ai guère le temps de lire en ce moment. 
Si vous le feuilletez, merci de me tenir informé.
Oooh Pinaize, ça c'est de la revue de presse !