Une bien belle page ma foi, extraite du dernier album de David Sourdrille paru aux Requins Marteaux.
Après, on peut être suffoqué du fait que la complaisance devient ici le moteur d'une création qui se mord littéralement la queue, mais bon...
On n'est libre que de ce qu'on connait vraiment.
A moins qu'on s'arrange pour en faire quelque chose d'indémerdable.
J'y ai écrit un petit mot :
Bonjour
Je découvre votre travail à l'occasion de la parution des idoles malades.
Graphiquement, c'est spectaculaire : j'ai cru voir Geof Darrow, Juan Jose Ryp, Yves Chaland et Hergé, entre autres auteurs de talent, se pencher sur votre berceau.
Sur le plan de la narration, c'est toujours courageux (je ne sais pas si c'est payant, par contre) de s'affranchir de ses défauts en s'en réclamant.
C'est une stratégie que j'ai tendance à délaisser, mes obsessions m'ayant par le passé entrainé au-delà des limites sanitaires de l'autophagie.
(d'ailleurs j'écris ce courrier avec les deux doigts que mes funestes appétits m'ont laissé)
Et puis je ne suis pas auteur de BD, même si je le fus à l'occasion d'un one-shot, téléchargeable dans notre espace d'autopromotion ci-dessous.
Enfin, je pense que je vais quand même acheter votre album, il faut bien relancer l'économie puisque la Guerre au Mali n'y parvient pas.
Cordialement
John W.
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