En attendant le verdict
Amnistie Générale
sauf pour les récidivistes
65. A Trudy, sa première femme : “Je ne peux pas te dire que je t’aime parce que je ne sais pas ce que ce mot veut dire. Je veux dire le mot “je”, mais ni “aimer” ni “te”.
66. A Annie, sa deuxième femme : “Je ne peux pas te dire que je t’aime parce que je sais ce que “te” et “aimer” veulent dire, et je ne sais pas ce que “je” veut dire”.
67. A Jenny, sa troisième femme : “Je ne peux pas te dire que je t’aime parce que je sais ce que “te” et “aimer” veulent dire.
68. A Maureen, sa quatrième femme : “Je ne peux pas te dire que je t’aime, parce que je sais ce que “te” veut dire.
69. A Dora, sa cinquième femme : “Je ne peux pas te dire que je t’aime”.
70. A propos de l’ensemble de ses cinq femmes, il fit un soir la remarque qu’il lui aurait été possible de leur dire simplement qu’il ne les aimait pas, parce qu’il aurait alors menti et aurait donc su ce qu’il voulait dire : il voulait mentir. Il semblait penser que les seules affirmations qu’une personne puisse énoncer en leur attribuant en même temps une signification étaient les affirmations que le locuteur sût être des mensonges.
triées parmi "une sélection de cent choses inintéressantes faites et dites par Hamilton Stark"
(in “Hamilton Stark”, Russell Banks, Actes Sud)
Le traître songe qu’il lui faut se trahir pour être fidèle à lui-même; il n’a pas eu vent des enseignements orientaux. Et quand bien même il les écouterait, qu’en retirerait-il ?
L’étrange ballet des rechuteurs scotchés sur orbite basse continue son obsédante ronde sur les forums consacrés à la dépendance sexuelle. Ils sont accros au porno ET aux forums d’entraide. Je connais un gars aux AA qui a stabilisé sa consommation en étant assidu aux réunions depuis 18 ans, mais il est toujours à 8 jours du dernier verre. C’est pire qu’affreux, y’a pas de mots. Ou alors faudrait en rigoler, mais je vois pas avec qui. Et ne me faites pas dire que je cherche de bonnes occasions pour couiner. Depuis que Flo m’a comparé à quelqu’un qui s’est construit une identité sur sa souffrance, et qui y tient tellement qu’il préfère mourir, ça va même beaucoup mieux.
Je ne sais pas si ça avance comme il faudrait avec ma thérapeute, elle m’a l’air de travailler surtout avec la PNL mais je ne désespère pas d’aborder un de ces jours la dépendance affective napalmisée à coup d’Internet.
Mais quand bien même, quand on aura fait le tour de mes parents, de mes manques et incompétences, il s’agira encore de faire face à ce que la vie me propose un jour à la fois.
J’ai donc bien fait de commencer tout seul.
Les dépendants sont informés des risques. Ca les rend doublement malades de remettre le nez dedans. Et la peur se nourrit de ce que tu laisses traîner. T’as qu’à faire comme moi et remballer le matosse, quitte à te prendre pour le gardien de nuit de Frustration Park s’il te faut à tout prix endosser un costard, l’eussè-je beaucoup porté avant toi.
Je passe le week-end tout seul à la maison à achever le montage de ce film qu’il me faut présenter la semaine prochaine au Conseil Général. Le tabac me suffit amplement comme mort à la petite semaine. Fume, mon gars, tu sais pas qui te fumera.
Bon, je voulais vous présenter notre employé du mois, un p’tit nouveau qui cause très bien sur les forums à l’heure où je n’ai plus de mots dans mon sac à mots. C’est le grand gagnant de l’épuisement généralisé qui a gagné les équipes en l’absence de thérapeute compétent (aah, Orroz, comme tu nous manques ! He Has Left Us Alone But Shafts Of Light Sometimes Grace The Corner Of Our Rooms…) dans l’équipe des cyber-branleurs.
Ecoutons-le :
"Dans cet exemple je parle au présent mais il est question de la façon dont je fonctionnais avant……
Je viens donc de rechuter.
Et recommence l’abstinence.
Je me suis promis que cette fois serait la bonne.
Putain, c’est que j’en souffre quoi.. !!..
Et j’en fait souffrir les autres.
Tellement de merde ingurgitée me file la nausée.
Bon, là pour une fois, je suis déterminé.
Là, j’en suis sûr, je vais y arriver.
En plus, j’en ai fait la promesse.
Donc on va dire que c’est le soir.
Et puis non, on va remonter un peu plus tôt dans la journée.
Il fait chaud.
Il fait si chaud que presque tout le monde a oublié de s’habiller.
Le matin, j’ai croisé une nana qui avait un de ces culs.
A vrai dire, ce n’est pas son cul que je vu.
J’ai revu en l’espace de quelques instants tout un tas de culs.
Tous ces culs qui peuplent mon imaginaire.
Tous ces culs que je collectionne sur mon Pc.
Ou que j’ai collectionné si longtemps qu’il me suffit d’en voir un seul pour qu’ils me reviennent tous à l’esprit.
Je parle de cul mais je pourrais parler de seins.
De talons.
Et puis peu importe.
Je me suis donc promis de ne plus basculer mais voilà ce cul que j’ai vu me fait sérieusement vaciller.
L’adrénaline est montée mais peu importe, je résiste.
Le temps passe et là, je croise un panneau publicitaire avec cette fois, la paire de seins la plus volumineuse que j’ai vu depuis………la dernière fois.
En l’espace de quelques secondes, tout un tas de nouvelles images défilent en moi.
J’oublie de dire que malgré toutes mes bonnes résolutions, j’ai quand même pris le temps de les voir.
Je parle du cul du matin et des seins de l’après midi.
Et non seulement, je les ai vu mais j’y ai pensé.
Rien de grave puisque je suis le seul à l’avoir fait.
Ces images et ces pensées sont en moi.
Ce faisant, je viens de commettre à nouveau la même erreur que toutes les fois précédentes.
Là, sans le savoir, j’ai réveillé de vieux démons.
Des démons qui sommeillent en moi depuis bien longtemps.
Et ce même schéma qui me pourrit la vie depuis aussi longtemps se reproduit.
Les pensées ont pris de la place et à vrai dire en prennent de plus en plus.
Elles finissent même par prendre toute la place.
Et vient l’heure de l’autorisation.
Sans en avoir l’air et peu importe tout ce qui m’en coûtera, je m’autorise à penser plus avant.
Ce soir, je me connecterai.
C’est décidé.
Les remparts sont tombés.
Jéricho est en ruine.
Le soir est proche.
Tant bien même m’était-il déjà arrivé de pactiser avec le diable en journée et de me rétracter par la suite, cette fois, le diable est dans ma poche.
Il attend son heure.
En attendant, je passe une bonne soirée.
Ma p’tite femme est en beauté.
A deux reprises, je lui mens allégrement en lui disant que de toute façon, jamais plus je ne n’irais sur des sites de boules.
Que jamais plus ceci.
Que jamais plus cela.
Qu’elle peut me faire confiance et patati et patata.
J’aime pas lui mentir mais autant ça s’agite dans ma tête autant ça s’agite dans ma poche.
Le diable est là, rappelez vous.
On fait l’amour et alors que la plupart s’endormiraient paisiblement, moi je me pose sur le Pc.
C’est que je me suis fait une promesse.
Elle s’endort.
Là, je ne lui ferais pas de mal.
Comme toute à l’heure dans ma tête, je me retrouve seul.
Et seul, je le suis tellement en fait.
Dans ces moments là, je le suis même toujours.
Depuis toujours.
Je tape quelques lettres qui forment un mot.
Le nom d’un site apparaît.
Je clique dessus et c’est parti.
Ca ne durera pas longtemps.
Juste quelques heures………
Et puis de toute façon, ce sera la dernière fois.
Si je devais déchiffrer tout cela, je dirais qu’au matin, une pensée racine est apparue.
Une pensée qui, reliée au cortège des pensées archaïques qui vivent dans mon crâne, a fini par prendre tellement de place que j’ai fini par m’autoriser à me connecter.
Ce que j’ai fait dès que le moment s’est présenté.
La connexion dans ce cas là n’est que la quatrième étape d’un schéma dont j’ai souffert pendant si longtemps que je pensais le vivre et le revivre éternellement.
En clair, je me connectais dès que la pensée qui me traversait l’esprit me faisait basculer.
J’étais connecté avant même de me connecter.
Fuir le Pc n’est pas la solution que je m’applique.
J’y passe beaucoup de temps.
J’ai compris ce schéma et je m’applique la plus grande discipline.
Je fuis du regard tout ce qui serait susceptible de réveiller Bel Zébu th.
C’est là que je me connectais en fait.
Et si je croise quoique ce soit ou qui que ce soit, je ne m’attarde pas dessus.
Je n’y pense pas.
Je pense à mes résolutions.
Je suis déterminé merde et comme je sais grosso modo comment ça s’est toujours passé, j’ampute le mal à la racine.
J’ai parlé sur un autre site de pensées résiduelles auxquelles nous ne pouvons échapper.
Entre y penser et les matérialiser, il y a un monde, non ?
Là, j’écris et objectivement je pourrais penser à me connecter.
Je sais donc ce qu’il me resterait à faire.
Penser à un site.
Penser au supposé bien être que cela me procurerait.
Laisser mijoter le tout et me laisser aller.
Je pourrais même ne pas vouloir y penser et qu’une de ces fameuses pensées résiduelles me traverse l’esprit.
Je ne le ferais pas.
Je n’alimenterais rien.
Et je peux même vous dire pourquoi.
J’en ai marre de mourir.
Je suis mort si souvent que jamais je n’imaginais pouvoir vivre.
Je ne savais même pas ce que cela voulait dire.
Et croyez moi, maintenant que je vis, ça non, je n’ai plus envie de mourir.
Pour conclure, je parle de discipline mais celle-ci n’exige pas beaucoup de moi.
Moins en tout cas qu’au début.
Il faut simplement apprendre à chasser ces putains de pensées à la racine.
Et comme je le disais à John Warsen, si je ne le fais pas pour moi ou les autres, je le dois au moins à l’enfant que j’étais qui souffrait de ne pas savoir.
Moi, je sais.
En tout cas, j’essaie de comprendre.
Aujourd’hui, c’est essentiel pour moi d’être le plus transparent possible.
On voit même parfois au travers……
Autrefois et du fait que je n’avais fait aucun lien avec le sexolisme et pour cause je ne connaissais pas ce terme, je n’utilisais pas les termes d’abstinence, de seuvrage, de rechute.
Depuis que j’a pris conscience de tout cela, et parce que je suis malade, je me soigne.
Je fais très attention et parce que cette putain de maladie ne m’avait jamais fait un seul cadeau, je ne lui en fais aucun.
J’ai fait en sorte de comprendre le schéma dont j’ai souffert et du coup je fais tout pour l’amputer à la racine.
Et pour moi, je peux dire que ça marche.
Maintenant et à supposé que je rechuterais et parce que nous vivons dans la transparence la plus totale, je n’hésiterais pas à lui en parler.
La transparence est salavatrice pour moi.
Je sais comment je fonctionne et je sais que c’est la meilleure façon de me protéger."
Amen.
En 76 c’était une époque bénie pour le cul, l’année où les films X étaient autorisés. Il y avait plus de films X que de films normaux . Les films étaient vachement bien, la production française avait de la gueule, des films en 35 mm avec des scénarios. Je passais mon temps à me branler dans les salles de cinéma. Des filles comme Marilyn Jess avaient 18 ans, j’avais 18 ans c’était le monde idéal ! On avait l’espoir que ça devienne quelque chose, et puis le censeur est passé avec la loi de finance, et foutu le X dans un petit ghetto, où il est toléré à condition d’être insignifiant.
-Et puis la loi de finance est arrivée, la vidéo qui a définitivement enterré le genre ?
Le X n’est plus fait par des gens du cinéma, mais par des gens qui faisait des fringues dans le sentier et qui ont trouvé un moyen plus simple et plus rigolo de gagner de l’argent.
Ils achètent un caméscope à la Fnac, ils tournent ça chez eux avec une apprentie shampouineuse, ils mettent une belle jaquette et ils vendent ça. Mais c’est pas des films, c’est des produits de consommation sexuelle qui servent à se branler, mais c’est ça qui fait avancer le genre.
-Pour en revenir à ton parcours, tu deviens journaliste, tu écris des bouquins pour des enfants, des reportages…
-Avec une vie de famille, des enfants…Tu as des enfants ?
J’ai vécu marié avec deux enfants pendant 15 ans !
-Alors qu’est ce qui a fait que tu abandonnes une situation plutôt confortable…
Je m’emmerdais ! j’ai eu envie de recommencer à jouer avec des trucs qui m’enthousiasmait tant quand j’étais ado. Ca s’appelle la crise de la quarantaine !
J’ai recommencé à fréquenter en douce les sex-shop, les cinémas X, acheter des cassettes porno Mais mener une double-vie, c’était pas possible., je n’allais pas recommencer honteusement à aimer la pornographie. J’ai donc inventé John B. Root en 95.
-Ca a bien marché. Tu as été le premier à faire des cd rom X…
Ca n’a jamais bien marché.
-Quand même !
Ca n’a jamais bien marché économiquement. Je n’ai jamais su gagner ma vie avec ce métier. Et encore aujourd’hui. Mais ça a été passionnant d’un bout à l’autre….
-J’ai commencé par les cd-rom et puis Canal est venu me voir car ils aimaient mes cd-rom, et ils m’ont demandé de faire un programme interactif diffusé à la télé. On a fait Cyberix, un truc monstrueux ! 24 acteurs en direct, ça a coûté une fortune et j’ai jamais revu l’argent !
J’avais fait un tel trou dans la caisse, qu’il a fallu que je me mette à faire des films, en se disant qu’on ferait peut-être de l’argent. Mais je l’avais pas du tout prévu de faire des vidéos X, je pensais que le marché était saturé. A l’origine la boite que j’avais monté devait produire pour moitié des programmes pour la jeunesse. Mais John B. Root a tout bouffé !
-Dans les dernières interviews que j’ai lues, 2004 n’avait pas l’air formidable.
Ca a été la pire année d’existence de la boite. Tous nos marchés sont tombés. Canal ne diffusait plus nos films, le retour de l’ordre moral a fait que toutes les chaînes ont arrêté de se lancer dans des projets. Le carnet de commande était vide. On ne payait même plus le loyer, c’était une année épouvantable. On s’en sort peu à peu.
-Tu me diras en ce moment c’est plutôt la crise pour tout le monde. Tous les professionnels se plaignent.
Oui mais c’est leur faute. A force de pratiquer une politique de marchand de fruits et légumes, de vendre n’importe quoi avec des belles jaquettes, ils ont tué le marché. Maintenant ils ne peuvent s’en prendre qu’à eux-mêmes. Je l’avais écrit il y a cinq ans dans porno blues, et on y est. Le marché est mort.
(…)
-Et les films du genre extrêmes uro, scato…
Toutes ces franges du porno sont absolument indispensables. Si le porno arrête d’être salissant, faut qu’il arrête complètement.
-Alors toi, tu pourrais faire un film scato ?
Moi je peux tout filmer s’il y a du plaisir. Je ne vois pas pourquoi je ne tournerai pas du scato, du dégueu, du SM si je connais les codes. Si un couple prend un vrai plaisir, je ne vois pas pourquoi je ne le tournerai pas. Je ne suis pas raciste envers les sexualités ! Par contre je ne le mettrai peut-être pas sur le site, pour ne pas choquer les visiteurs. Ou alors avec un gros avertissement !
-Et les films de viol ?
Ah non, certainement pas. La seule chose qui compte est le plaisir. Le SM c’est encore autre chose, c’est un choix.
Mais même si ça amuse la fille de faire semblant de se faire violer, ça fout trop de merde dans le crane des mecs. Il ne faut pas que l’on croie qu’on peut imposer le plaisir.
-Et les films d’inceste ?
Non. Dès qu’on mélange le sexe avec du pouvoir ou de l’argent, on tombe dans la prostitution, la pédophilie, le viol… Le sexe ça ne se mélange avec rien d’autre, ça se mélange avec du plaisir.
-Pourtant beaucoup d’éditeurs Francais le font.
Ca fait un tort considérable au métier. Cet automne, tout le monde parlait de ces cassettes de viols qui nous ont attiré les foudres. J’ai passé mon temps à me défendre à la télé contre des gens qui disaient c’est parce que le porno est autorisé qu’il y a des viols dans les banlieues. Il faut arrêter avec le sexe non-consenti parce que c’est la pente glissante. Faire croire qu’une nana prend du plaisir parce qu’on la viole…on est dans le pourri.
-Maintenant que tu es présent sur internet, que penses-tu de l’accès des mineurs aux sites X ?
Il y a des solutions, il y a des moyens, mais c’est un vrai problème. En France, le législateur ne veut pas trancher. On vit de la tolérance du législateur, on est dans un pays de Tartuffe ! Aux Etats-Unis, ils ont tranché : l’utilisation d’une carte de crédit fait preuve de majorité.
L’outil de filtrage il existe. C’est comme à la télé. Si les parents utilisaient le code parental de leur décodeur les gamins n’auraient pas accès aux films.
Rédigé par: john | le 13 mai 2006 à 20:30| Alerter
Rédigé par: flopinette | le 14 mai 2006 à 09:04| Alerter
il y a quelques semaines, tu m’écrivais “Pour information, ce que je mets sur mon site ne présente pas le moindre
intérêt à mes yeux. Mais comme il en présente pour d’autres et que ces
autres sont prêts à payer, et que ces vidéos sont faciles à faire, je ne
vois pas pourquoi je me ferais chier à bosser 35 heures par semaine pour
gagner une misère alors que je peux gagner plus en ne foutant presque rien.” C’était peut-être écrit un peu vite, mais je prends ce que tu me donnes dans l’état où c’est.
J’ai lu sur le blog de la vache cosmique : “Comme l’enseignent les Maîtres Kadampas, l’imbécile est une bénédiction : il vous enseigne la pitié”.
Mais lui, il apprend quoi ?
Et un jour tu as écrit “si les gens savaient ce qu’est la compassion, ils découvriraient que c’est exactement le contraire de ce qu’ils pensent. C’est à l’exact opposé. Comme la spiritualité.”
Est-il plus charitable de parler de maladie ou de stupidité localisée à l’endroit de ces “pauvres” dépendants ? Il y a longtemps que certains sites de culs référencent en lien les Sexoliques Anonymes. Ce n’est pas plus choquant ou hypocrite que “fumer tue” sur les paquets de clopes. L’avatar d’un copain sur le forum dépendance sexuelle, c’est une petite phrase encadrée de noir : “le porno nuit gravement à la santé mentale.” Dans notre monde, l’information et le profit ne sont pas à une incompatibilité près.
De toute façon, nul espoir de guérir les malades sans leur concours actif. Entre rendre l’information accessible et scier la branche sur laquelle tu es assise en lotus, il y a de la marge.
Rédigé par: john | le 14 mai 2006 à 15:18| Alerter
Rédigé par: flopinette | le 15 mai 2006 à 02:13| Alerter
En plus, je raconte des bêtises : Orroz est 100% français et n’a pas attendu de faire partie d’un hypothétique “mouvement” pour sauver ses fesses et nous inviter à sauver les notres.
Rédigé par: john | le 15 mai 2006 à 07:38| Alerter
Rédigé par: johnlocke | le 23 mai 2006 à 20:55| Alerter