Plutôt une fin ouverte, comme dans les Sopranos.
A l'aide du petit dessin de Xavier Gorce paru dans le Monde d'hier.
Comme ça, si ça me reprend, je n'aurai pas à transgresser une règle que je m'étais fixée.
samedi 5 août 2017
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On va finir par croire que tu es guéri. Comme quoi l'andropause a aussi du bon.
RépondreSupprimerPas d'andropause.
RépondreSupprimerCa se saurait.
La rédemption, sinon rien.
Bouddha, Bouddha, pourquoi m’as-tu abandonné ?
Le Bouddha me dit de te dire que c'est parce qu'il pensait que tu étais un grand garçon et que tu pouvais te débrouiller tout seul. Comme il est entré en paranivana, il sous-traite. Il te conseille Avalokiteshvara, elle peu prendre une forme fénimine, bronzée, si tu le souhaites. Ta rédemption peut attendre.
RépondreSupprimerJe me méfie des voies dévotionnelles. Enfin, surtout de la façon dont je les ai empruntées jusqu'à présent.
RépondreSupprimerA toi de ne pas mettre de dévotion là où tu n'as pas envie d'en mettre. It's easy as hell(((o))))
RépondreSupprimerJ'ai commencé à la retirer sur le plan comportemental. Eliminer une énième fois les rituels dévotionnels. On va voir si les croyances évoluent.
RépondreSupprimerJe me demande si, plutôt qu'éliminer des rituels, qui comme avec l'equathon qui laisse un cratère, il ne serait pas judicieux de les remplacer par d'autres rituels. Je te conseille l'auto-prosternation qui se pratique devant un miroir, ou encore l'invocation de ton propre nom.
RépondreSupprimerAu pire, tu risques de croire en toi, ce qui ne serait qu'un moindre mal au regard de toutes les autres conneries auxquelles tu pourrais croire.
Je connais le coup du cratère, dans la version immortalisée par Bruno Carette.
RépondreSupprimerJ'ai commis l'erreur dans mes précédentes tentatives de sevrage d'aller faire le malin sur des forums.
Point de ceci ici.
Je fais de la médit" de bonne conscience, je regarde des séries télé, et je travaille trop. Voilà pour les rituels de substitution. J'évite l'autoprosternation devant ma perche à selfies. Tu devrais cesser de dire des conneries ici, elles pourraient t'être reprochées, même de ton vivant.
Faire le malin sur des forums peut être utile (pour savoir là où on en est) à condition de ne pas y passer sa vie.
RépondreSupprimerC'est quand même marrant que tu parles de dévotion et de rituels alors que c'est ce qui manque le plus à la médit de bonne conscience.
Ce qui m'étonne c'est à quel point les gens en général se gourent sur les rituels et peut-être aussi sur la dévotion.
Remplace dévotion par gratitude et tu verras qu'il n'y a aucune raison d'en avoir peur.
La question du rituel est trop complexe pour en dire autre choses que des conneries d'autant plus que j'évolue sur la question d'année en année. Par exemple avant les samapaï (prosternation) me faisaient seulement marrer. Maintenant j'y vois un prétexte yogique à se détendre le dos après de longues périodes de zazen. Et puis comme on les enchaine en se mettant debout puis à genou très rapidement plusieurs fois de suite ça donne le vertige et curieusement ce n'est pas désagréable. Même les chants que je trouvais plutôt chiants au départ je commence à en percevoir l'efficacité et presque (quand je suis bien entouré) la beauté.
Tu devrais remplacer les séries télé par du jardinage tu te ferais moins de mal.
La gratitude ne vient qu'envers les maitres. Pour l'instant je n'en ai pas.
RépondreSupprimerRegarder des séries télé sur le jardinage me donne mal au dos. Je suis tombé sur l'adaptation en série télé de "La servante écarlate", (The Handmaid's Tale) roman de Margaret Atwood de 1985 qui décrit une Amérique totalitaire assez trumpienne, où la religion domine la politique et où les femmes sont divisées en trois classes : les Épouses, seules femmes ayant du pouvoir, qui dominent la Maison, les Marthas qui entretiennent la maison, et aussi s'occupent de la cuisine et enfin les Servantes écarlates dont le rôle est la reproduction. Toutes les autres femmes (trop âgées, infertiles, etc.) sont déportées dans les Colonies où elles manipulent des déchets toxiques. Dans ce futur, le taux de natalité est très bas à cause de la pollution et des déchets toxiques de l'atmosphère.
Je suppose que c'est une série féministe. C'est assez éprouvant et pénible à regarder jusqu'à la moitié de la saison, parce qu'on ressent le même enfermement que l'héroïne, une Reproductrice qui n'a pas son mot à dire.
Je vais attendre le beau temps pour le jardin. Je croule sous le boulot, et j'essaye de trouver que ça tombe bien.
J'ai assez spontanément de la gratitude pour les gens qui m'ouvrent l'esprit. J'en ai même pour toi, c'est dire! et assez généralement pour les gens qui me supportent.
RépondreSupprimerJ'en ai pour la vie, et donc pour mes parents
J'en ai aussi pour les légumes qui me nourrissent (je suis en voie de me végétérianiser) et pour l'eau du robinet mais je ne crache pas sur l'eau en bouteille ni plus rarement sur la bière.
La gratitude comme la joie ne se commande pas et celui qui te reprocherait ton ingratitude n'aurait rien compris à la vie.
Je suis sûr qu'en grattant, il y a bien un ou deux profs sans qui tu ne serais pas qui tu es.
J'ai de la gratitude pour le maître que je fréquente surtout pour avoir pris le temps de discuter pendant 1h30 avec mon fils et un peu aussi pour ne pas m'avoir encore exclu de la Sangha.
Je ne doute pas du fait qu'il y a de très bonnes séries et même des séries qui font réfléchir mais elles sont conçus pour être addictives.
Comme pour la cigarette, il est plus facile de ne pas commencer.