Je ne connais pas d’idée plus anxiogène que celle que je viens de lire sur un blog spiritualiste : un lama prétend qu'après la mort, nous sommes dans un monde de conséquences, non de causes, et que c'est pour cette raison que plus rien ne peut être corrigé.
L’idée qu’une conscience perdure post mortem pour constater les dégâts (?) sans pouvoir réagir en actes m’affligerait au plus haut point si je n’avais déjà parfois l’impression de vivre ante mortem cet état « où plus rien ne peut être changé » dans un monde de conséquences où les causes ne sont plus accessibles.
L’idée qu’une conscience perdure post mortem pour constater les dégâts (?) sans pouvoir réagir en actes m’affligerait au plus haut point si je n’avais déjà parfois l’impression de vivre ante mortem cet état « où plus rien ne peut être changé » dans un monde de conséquences où les causes ne sont plus accessibles.
A nouveau rongé par différents cancers virtuels, je préfère me retirer de la vie bloguitique, à l'instar de Jospin en 2002, et j'ose espérer qu'on ne me verra plus trop par ici, car la contemplation morbide de mon nombril épilé pour un été de folie au camping des flots bleus me procure d'importantes crampes menstruelles.
Ca ne m'a pas empêché de ressurgir précédemment par un quelconque tunnel à droopys, mais là, le comité de lecture a jugé bon de m'avertir que j'avais vraiment perdu le feeling du bloggueur, et qu'il valait mieux pêcher des maquereaux au large des Sables d'Olonne, que c'était plus constructif, sauf pour les maquereaux.
Ca ne m'a pas empêché de ressurgir précédemment par un quelconque tunnel à droopys, mais là, le comité de lecture a jugé bon de m'avertir que j'avais vraiment perdu le feeling du bloggueur, et qu'il valait mieux pêcher des maquereaux au large des Sables d'Olonne, que c'était plus constructif, sauf pour les maquereaux.
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