Agacé par la persistance des symptômes, bien que par ailleurs ça m'arrange un peu pour bricoler mes vidéos la nuit, je me dis que ça fait au moins deux semaines que j'aurais dû m'informer :
1. Classe pharmacothérapeutique
Seroplex contient de l'escitalopram et est utilisé pour traiter la dépression (épisodes dépressifs majeurs) et les troubles anxieux (tels que le trouble panique avec ou sans agoraphobie, le trouble anxiété sociale, le trouble anxiété généralisée et les troubles obsessionnels compulsifs).
1. Classe pharmacothérapeutique
Seroplex contient de l'escitalopram et est utilisé pour traiter la dépression (épisodes dépressifs majeurs) et les troubles anxieux (tels que le trouble panique avec ou sans agoraphobie, le trouble anxiété sociale, le trouble anxiété généralisée et les troubles obsessionnels compulsifs).
- Symptômes observés lors de l'arrêt du traitement :
L'arrêt du traitement par ISRS/IRSNa (particulièrement lorsqu'il est brutal) conduit habituellement à la survenue de symptômes liés à cet arrêt. Les réactions les plus fréquemment rapportées sont les suivantes : sensations vertigineuses, troubles sensoriels (incluant paresthésies et sensations de choc électrique), troubles du sommeil (incluant insomnie et rêves intenses), agitation ou anxiété, nausées et/ou vomissements, tremblements, confusion, hypersudation, céphalées, diarrhée, palpitations, instabilité émotionnelle, irritabilité et troubles visuels. Généralement, ces événements sont d'intensité légère à modérée et sont spontanément résolutifs, néanmoins, ils peuvent être d'intensité sévère et/ou se prolonger chez certains patients.
Il est donc conseillé lorsqu'un traitement par escitalopram n'est plus nécessaire, de diminuer progressivement les doses (voir rubriques posologie et mode d'administration et mises en garde et précautions d'emploi).
Bon, moi j'ai pas tout ça, mais je ne suis pas habitué à dormir 4 heures par nuit, en 2 fois 2 heures.
Je compte sur le sevrage sec (moins d'un joint de beu par semaine quand j'en ai vraiment marre des insomnies) pour que ça se purge.
et sur un forum, donc un peu moins scientifique :
Tous les antidepresseurs peuvent provoquer un virage de l'humeur.
Il est assez frequent qu'a l'arret d'un antidepresseur, il y ai une phase de re-regulation de l'humeur qui a été maintenue artificiellement haute par l'AD.... d'ou cette periode tres agreable mais pas "normale" de bien etre et d'hyperactivité.
Si cela dure... ya de forte chance que tu sois bipolaire.
En tout cas, surtout parles-en a ton medecin.
L'arrêt du traitement par ISRS/IRSNa (particulièrement lorsqu'il est brutal) conduit habituellement à la survenue de symptômes liés à cet arrêt. Les réactions les plus fréquemment rapportées sont les suivantes : sensations vertigineuses, troubles sensoriels (incluant paresthésies et sensations de choc électrique), troubles du sommeil (incluant insomnie et rêves intenses), agitation ou anxiété, nausées et/ou vomissements, tremblements, confusion, hypersudation, céphalées, diarrhée, palpitations, instabilité émotionnelle, irritabilité et troubles visuels. Généralement, ces événements sont d'intensité légère à modérée et sont spontanément résolutifs, néanmoins, ils peuvent être d'intensité sévère et/ou se prolonger chez certains patients.
Il est donc conseillé lorsqu'un traitement par escitalopram n'est plus nécessaire, de diminuer progressivement les doses (voir rubriques posologie et mode d'administration et mises en garde et précautions d'emploi).
Bon, moi j'ai pas tout ça, mais je ne suis pas habitué à dormir 4 heures par nuit, en 2 fois 2 heures.
Je compte sur le sevrage sec (moins d'un joint de beu par semaine quand j'en ai vraiment marre des insomnies) pour que ça se purge.
et sur un forum, donc un peu moins scientifique :
Tous les antidepresseurs peuvent provoquer un virage de l'humeur.
Il est assez frequent qu'a l'arret d'un antidepresseur, il y ai une phase de re-regulation de l'humeur qui a été maintenue artificiellement haute par l'AD.... d'ou cette periode tres agreable mais pas "normale" de bien etre et d'hyperactivité.
Si cela dure... ya de forte chance que tu sois bipolaire.
En tout cas, surtout parles-en a ton medecin.
Bon, on le saura que j'ai un pôle nord et un pôle sud, mais quand ils fondent en même temps, je fais quoi ?
Un autre parle de chocolat et de sport pour regénérer de la sérotonine par les voies naturelles, bref tout ce que j'ai promis à mon psy que j'allais faire, mais je suis évidemment pris dans un rush et des cycles...
Je pense que ça va aller globalement vers un mieux-être, là je viens de dormir carrément 5 heures d'affilée, mais ça fait 3 mois que je suis à la rue question sommeil.
Le reste, ça va plutôt mieux qu'avant la crise.
Et la meilleure pour la fin :
"Bien que l'aide d'un médecin soit nécessaire, il ne faut jamais faire confiance à un médecin en matière de sevrage, pas plus qu'en matière de prescription."
Comme ça on est bien avancés.
Il semble que ce message émane d'un blog nourri par des robots anciennement traducteurs chez Google Trad, mais quand même...
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