samedi 11 mars 2017

La rigidité cadavérique des rhinocéros

Je voulais écrire un article sur l’absence tragique de littérature sur l’évolution de la rigidité cadavérique post-mortem des rhinocéros®, après avoir lu dans le Monde un article où le journaliste s'est visiblement amusé à déposer cette expression rien que pour je la ramasse et en fasse n'importe quoi, j'aurais réussi à relier ça façon explosifs artisanaux, le fil rouge sur le bouton rouge, avec la relecture attentive du dernier SAS, Coup de boule à Kaboul, l'affaire Le Troadec ("Une famille aurifiée") qui suit d'assez près l'affaire Dupont de Ligonnès ("Une famille terrassée") qui auraient accrédité la thèse alternative qui fait sans doute führer sur Twitter et qui veut que Nantes soit construite sur un ancien cimetière indien (je vois pas d'autre explication), et puis le prochain SAS sorti dès ce soir, Ramasse à Damas, et puis j'aurais fait quelques montage photoshop bien perraves, et puis finalement je suis assez occupé, et François Morel m'a pris de vitesse, lui dont c'est le métier. 'Culé. De toute façon, je n'aurais sans doute écopé que quelques commentaires décalés de mes trolls habituels, ce qui n'a aucun intérêt.





 Devant la pression internationale, Warsen arrête sa revue de presse.


Arrête, Warsen, tu nous fais trop rire.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire